. Annales des sciences naturelles. Plants; Biology. 168 E. GOUMY ner là nos rechorches, et nous avons voulu «'lutlior en détailla pai'lic rt'uill(''(' (lu support. Nous axoiis pu drlcrminer un cer- tain nonii)i<' (le points de repèi'e et de coupis (\u\ nous uni tourni : ceux-là autant de niveaux faciles à retrouver dans toutes les lambourdes ([uc nous avons étudiées, celles-ci autant de termes de comparaison. Eneiït' faisceaux libéro-ligneux qui émanent de la feuille supérieure (puis bientôldes deux ou trois autres), font bientôt ])artie intégrante du cylindre central du suppoil. et. t
. Annales des sciences naturelles. Plants; Biology. 168 E. GOUMY ner là nos rechorches, et nous avons voulu «'lutlior en détailla pai'lic rt'uill(''(' (lu support. Nous axoiis pu drlcrminer un cer- tain nonii)i<' (le points de repèi'e et de coupis (\u\ nous uni tourni : ceux-là autant de niveaux faciles à retrouver dans toutes les lambourdes ([uc nous avons étudiées, celles-ci autant de termes de comparaison. Eneiït' faisceaux libéro-ligneux qui émanent de la feuille supérieure (puis bientôldes deux ou trois autres), font bientôt ])artie intégrante du cylindre central du suppoil. et. tant (pie les faisceaux libéro-ligneux émanant des feuilles sont en nombre assez restreint, il est facile de se rendre compte du nombre de feuilles (jui surmontent la n'-gion (•()U|)ée et de rapporter un faisceau de la coupe aune feuille déterminée (1). (1) A chaque pétiole correspondent en effet trois faisceaux libéro-ligneux principaux, dont le plus central est le plus développé. Inia^jinons une coupe l)résentant la disposition représentée par la figure ci-contre (fig. 14) : S'-Ye^^^y/e r'I'feuiJIe. 3"".reuJ/Â A "?'/euilIe V\'A. II. — Figure lli.'niiciiic, riKmtrnnl la (lisjtosition des faisceaux libéro-ligneux dans une coupe faite au-dessous du niveau d'insertion de In iiuatrième fouille. I*iiis(ju"il n"exisle, entre les faisceaux lihéro-liuneux émanant des j)étioles, aucun vaisseau lignifié, il nous est facile de rapporter chaque groupe île trois faisceaux à une feuille différente. D'autre part, les faisceaux les plus rap|)ri)chés du centre de la coupe, c est-a- din;ceux(jui ont pris leur place noimale dans le cylindie central, sont évidem- ment ceux qui émanent de la feuille la plus éloignée, et, réciproquement, les faisceaux les plus éloignés du centre émanent de la feuille la jdus rapproché Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhance
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