Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . e-Féli-cien), physiologiste et pisciculteur français, né à Parisen 1839. Docteur on médecine, préparateur de Claude Ber-nard, il a professé la physiologie à lécole de médecine deNantes (1875-1882) et a été directeur de laquarium de laville de Paris (1882-1891). 11 a transformé la piscicultureen montrant la nécessité de lélevage des alevius; il aacclimaté dans les affluents de la Seine la truite arc-eu-ciel et le saumon do Californie, et organisé, en 1893, lespêcheries de lempire ottoman. Citons de lui : Acclimata-tion du saumo
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . e-Féli-cien), physiologiste et pisciculteur français, né à Parisen 1839. Docteur on médecine, préparateur de Claude Ber-nard, il a professé la physiologie à lécole de médecine deNantes (1875-1882) et a été directeur de laquarium de laville de Paris (1882-1891). 11 a transformé la piscicultureen montrant la nécessité de lélevage des alevius; il aacclimaté dans les affluents de la Seine la truite arc-eu-ciel et le saumon do Californie, et organisé, en 1893, lespêcheries de lempire ottoman. Citons de lui : Acclimata-tion du saumon de Californie dans le bassin de la Seine {1892)et le Sang et la Mate dans lalimentation des alevins (1893). JOUTE (subst. verb. de jouter) n. f. Archéol. Combatcourtois à cheval et à la laucc, différant essentiellement dutournoi, où lon nemployait jamais larme dhast précitée. — Par anal. Combat danimaux : Jodte de coqs. — Joute sur leau, Divertissement où deux hommes, de-bout chacun sur larrière dun batelet, cherchent à se faire. tomber à leau, au moment où les batelets se croisent, ense poussant avec une longue perche munie dun tampon. — Fig. Lutte, rivalité quelconque : Joute oratoire. — Encycl. Lorigine des joutes est aussi ancienne quecelle des tournois ; mais lapplication des règles ne remonteguère au delà du xir siècle. Cest surtout à partir luXIV* siècle, lorsque le faucre fixé au plastronde la cuirasse rendit le maniement do la lance fdus aisé, que la joute devint un combat régu-ier. Toujours un seul champion courait contreun autre, soit à carrière libre, soit le long dunebarrière qui séparait les deux adversaires à hau-teur de la ceinture. Le jouteur galopait, ayanttoujours sur sa gauche la barrière, au-dessus delaquelle il dirigeait un peu obliquement sa lancepour atteindre son adversaire, autant que pos-sible à la tête ou à la région scapulaire, pour lodésarmer. Les lances de joute, plus courtes queles l
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