. L'ami des enfants . urta docilité à suivre les nobles conseils dAlexis. ÉDOu.\RD. — Eh! mon papa, comment pouvez-vous me récompensermieux que par ce que vous faites envers lui? M. DUFRESNE. —Ce uest ricu encore. Il na été jusquici que le compa-gnon de tes plaisirs; je veux quil le soit de tes exercices et de tes é ne mettrai point de difFérence dans votre éducation. ÉDOLARD. — Oh ! comme je vais profiter près de lui ! ALEXIS, se jelanlauv ^enoux (le M. Dulresne. VoulcZ-VOUS me laire mOUrir de lexcès de VOS bontés? M. DiTFRESNE, le reievani. — Nou, je vcux que tu vlvcs pour aimer mon


. L'ami des enfants . urta docilité à suivre les nobles conseils dAlexis. ÉDOu.\RD. — Eh! mon papa, comment pouvez-vous me récompensermieux que par ce que vous faites envers lui? M. DUFRESNE. —Ce uest ricu encore. Il na été jusquici que le compa-gnon de tes plaisirs; je veux quil le soit de tes exercices et de tes é ne mettrai point de difFérence dans votre éducation. ÉDOLARD. — Oh ! comme je vais profiter près de lui ! ALEXIS, se jelanlauv ^enoux (le M. Dulresne. VoulcZ-VOUS me laire mOUrir de lexcès de VOS bontés? M. DiTFRESNE, le reievani. — Nou, je vcux que tu vlvcs pour aimer mon fils,comme jaimais ton père. CHARLES. — Laissez-moi aussi prendre part à votre amitié. Je commenceà ne pas men croire tout à fait indigne, et je le dois à vos exemples. M. DUFRESNE. — Oui, uics auiis, tel est lempire de la vertu, déleverjusquà elle tout ce qui lapproche. Vivez toujours unis, pour vous fortifierdans la droiture et dans lhonneur; et soyez hommes ce que vous ê


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