. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. pu avoir à notre disposition pour cette étude, pro-venaient du laboratoire limnologique de Besse-en-Chandesse. Cest un plaisir pour nous, de men-tionner ici laccueil enif ressé que nous y avons reçu, de la part de notre oncle, .M. Poirier, direc-teur du laboratoire. 474 LA JLVIADIE Dl SOMMEIL AV CONGO FRANÇAIS nous a pas paru difïérer sensiblement clans les deux cas. (^hez le Mélophage, il sagitencore dune substance dun blanc de lait, qui montre au microscope une infinité depetits grains réfringents, lne f


. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. pu avoir à notre disposition pour cette étude, pro-venaient du laboratoire limnologique de Besse-en-Chandesse. Cest un plaisir pour nous, de men-tionner ici laccueil enif ressé que nous y avons reçu, de la part de notre oncle, .M. Poirier, direc-teur du laboratoire. 474 LA JLVIADIE Dl SOMMEIL AV CONGO FRANÇAIS nous a pas paru difïérer sensiblement clans les deux cas. (^hez le Mélophage, il sagitencore dune substance dun blanc de lait, qui montre au microscope une infinité depetits grains réfringents, lne faible partie seulement de ces corpuscules, noircit parlacide osmique et peut être considérée comme de nature graisseuse. Le reste, secolore fortement à létat frais par le bleu de méthylène et la fuschine. Dans les coupes,toute la masse subsistante prend une couleur rose assez forte, sous linfluence deléosine, et se montre constituée par une agglomération de corps arrondis, de bou-lettes, qui lui donnent un aspect muriforme différent de celui quon observe chez la. I Organisation digcstivc dune larv( Couije sagittiile ilune laive incluse dans lutérus: P. ut. paroi uléiiiK; r, piles glandes nourricières ; V. vagin ; P. 1. paroi du corps de la larve : lii. cL, langue musculaire : S st. sac stomacal ; R. intestin postérieur . A, anus Ale Mélophage, iliiprès Iratt. utérine; r, papille où débouchentlii. cavité pharyngienne ; Glossine. Il ne nous paraît pas douteux, avec la plupart des auteurs, quon ait allaireencore ici, à la sécrétion nutritive des glandes utérines absorbée par la larve. Cepen-dant Berlese (1899) a émis sur lorigini» de cette substance une opinion très particu-lière quil est intéressant de discuter, parce quelle impliquerait une dilférence impor-tante dans le processus de viviparité des deux types, sous le rapport du mode denutrition des larves. Daprès cet auteur, la larve de Mélophnge salimente, non pas duliquide


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