Traité d'hygiène . Fig. 29. — Pied nu, non appuyé(daprès Arnould). Fig. 30. — Pied nu, appuyé(daprès Arnouldj. doit pas être trop élevé, ce qui déplacerait ce pilier et par suiteléquilibre total, doù prédisposition aux entorses, exagérations descourbures normales du rachis : sil en était ainsi (et cest précisémentle cas dans certaines chaussures de femme), le pied glisserait en avant,et les orteils viendraient se rencontrer contre lextrémité de rem-peigne: cest pour éviter ces inconvénients que lemploi des talon-nettes qui se placent dans les chaussures doit être prohibé par leshygiénistes. Le


Traité d'hygiène . Fig. 29. — Pied nu, non appuyé(daprès Arnould). Fig. 30. — Pied nu, appuyé(daprès Arnouldj. doit pas être trop élevé, ce qui déplacerait ce pilier et par suiteléquilibre total, doù prédisposition aux entorses, exagérations descourbures normales du rachis : sil en était ainsi (et cest précisémentle cas dans certaines chaussures de femme), le pied glisserait en avant,et les orteils viendraient se rencontrer contre lextrémité de rem-peigne: cest pour éviter ces inconvénients que lemploi des talon-nettes qui se placent dans les chaussures doit être prohibé par leshygiénistes. Lempeigne doit respecter la saillie de la face dorsale du pied;elle doit sy appliquer exactement et la maintenir, sans la com-primer en aucun point. Cette application est obtenue par lemploide cuirs très assouplis et par lusage, pour la fermeture, soit deboulons, soit de lacets. Ce dernier mode de fermeture doit être (1) Arnould, Traité dhygiène, 4e édition, Paris, 1906. VÊTEMENT DU PI


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