. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. secondaire / est relié à la ligne d'une part et isolé d'autre part. En appuyant sur le bmitoii M on envoie sur la ligne j. une série de cou- ^p ranls vibratoires extrêmement rap- prochés. Les diffé- rentes lames AB qu'on peut adap- ter au vibraleur , . Fil.', s.â TraiismoUeui-iiliunoporitiue sont assez massi- i i i ves, épaisses de i à 3 millimètres et longues d'environ 10 centimètres. Elles sont numérotées 1,2, etc. et donnent en vibrant des notes diffé- rentes. Une pareille bobine transmet les imp
. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. secondaire / est relié à la ligne d'une part et isolé d'autre part. En appuyant sur le bmitoii M on envoie sur la ligne j. une série de cou- ^p ranls vibratoires extrêmement rap- prochés. Les diffé- rentes lames AB qu'on peut adap- ter au vibraleur , . Fil.', s.â TraiismoUeui-iiliunoporitiue sont assez massi- i i i ves, épaisses de i à 3 millimètres et longues d'environ 10 centimètres. Elles sont numérotées 1,2, etc. et donnent en vibrant des notes diffé- rentes. Une pareille bobine transmet les impul- sions d'un courant vibratoire d'un fil à l'autre, mais ne se laisse point traverser par un courant ordinaire. Le récepteur (fig. 9) est formé d'un électro- aimant dont les noyaux sont les deux branches d'un aimant permanent; les piè- ces polaires qui les termi- nent sont très rapprochées l'une de l'autre. Le fil de l'é- lectro-aimant communique avec la ligne et avec une bo- bine phonoporique à double enroulements. Au-dessus des noyaux se trouve une lame vibrante ab en acier, appuyée par ses deux extrémités sur deux petits chevalets métalliques. Celte lame est fixée par une vis à l'une de ses extrémités tan- dis que l'autre est pincée dans un étau mobile dans des glissières et qu'on peut déplacer en ma- nÅuvrant une vis pour le réglage; on peut ainsi régler la tension de cette lame ab. Au-dessus d'elle se trouve rextrémité / d'un levier mobile autour du point 0, dont l'extrémité K est en contact avec la pointe d'une vis. Sur ce levier K/s'appuie un res- sort gh fixé en h. Les axes o et /* sont suspendus à des élriers en laiton qui sont mobiles dans des glissières et auxquels on peut communiquer de faibles déplacements au moyen de vis convenable- ment disposées. La lame ai attirée en permanence par les noyaux aimantés se trouve ainsi dans un certain Ã
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