Un Parisien, comédie en trois actes . e leur crie : « Ne vous lamentez» pas, je me charge de forpheline. » Ci^jyero p /^ SAVOURETTE. Hein? BRICHAXTEAU. Jaimais mieux ra; je la fais monter dans ma \uilure;alors, on voulait ine porter en triomphe! avec des larmes 1 2 26 UN PARISIEN Cétait plus horrible encore. Jai conduit ma petite blesséechez mon médecin, elle navait rien, nous nous sommes arrê-tés chez un pâtissier, elle a souri. Nous sommes entrés chezune couturière en renom, qui lui a essayé des robes super-bes ; elle a ri. Alors jai été content. .Je lai amenée chezmoi, elle y est encore. Pj
Un Parisien, comédie en trois actes . e leur crie : « Ne vous lamentez» pas, je me charge de forpheline. » Ci^jyero p /^ SAVOURETTE. Hein? BRICHAXTEAU. Jaimais mieux ra; je la fais monter dans ma \uilure;alors, on voulait ine porter en triomphe! avec des larmes 1 2 26 UN PARISIEN Cétait plus horrible encore. Jai conduit ma petite blesséechez mon médecin, elle navait rien, nous nous sommes arrê-tés chez un pâtissier, elle a souri. Nous sommes entrés chezune couturière en renom, qui lui a essayé des robes super-bes ; elle a ri. Alors jai été content. .Je lai amenée chezmoi, elle y est encore. Pj SAV CURETTE, très ému-o On ne vous connaît pas, Monsieur, vous êtes un hommeexcellent. B] pclB, ITIUUSICUI , >UU3 ClCO UU llUIlllUC IRICHANTEAU. {aAA^ fl/U*!*/O*» fl Pas excellent du tout. Essuyez vos larmes. Jai donné àcette enfont une gouvernante sérieuse et laide, qui a laconsigne de ne pas se montrer, et rien na été changé dansma façon de vivre. SAVOURETTE, toujours ému. ?t**^^*;^^ Cest admirable. SCÈNE Vil Les Mêmes, GENEVIÈVE GENEVIÈVE, eiiliajitî Je me fais ati^ : H A N T E A f . Geneviève, quej^^âge avez^»^us? GENEVIÈr Je vaj*^avoir dix-sepl ans.
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