Le tonnelier . entez-vous^ M A R T I Je gagne centécus pour ne pas faire une fot-tife, il y a duplaifir de devenir fage à ce prix-làG E R V A I ! pour le coup je fuis charmé de vous voir rai-fonnable. SCENE XIV & dernière. SEP , €r les précé wre. Jfj[E, Maître Martin-^ eh bien î queft-ce donûque tout cela? Eft-ce quil convient dexpo fer unhonnêtehomme comme moi, à boire deux chopinestout feul au cabaret comme un i Dans le moment nous allonsles boire enfemble,font-elles tirées? tirées, maisje crois que jclesaibu, bien nous en boiro


Le tonnelier . entez-vous^ M A R T I Je gagne centécus pour ne pas faire une fot-tife, il y a duplaifir de devenir fage à ce prix-làG E R V A I ! pour le coup je fuis charmé de vous voir rai-fonnable. SCENE XIV & dernière. SEP , €r les précé wre. Jfj[E, Maître Martin-^ eh bien î queft-ce donûque tout cela? Eft-ce quil convient dexpo fer unhonnêtehomme comme moi, à boire deux chopinestout feul au cabaret comme un i Dans le moment nous allonsles boire enfemble,font-elles tirées? tirées, maisje crois que jclesaibu, bien nous en boirons deux autres. S £ tu payeras? , je gagne cent écus; jepeux bien payer bou-teille. C iij 38 LE TONNELIER, G E R V A I sIl a rûifon, je veux en être auffi. SEP. En ce caS| je vais faire tirer pour cent écus de vin, ! non , non. G E R V A I le faire, je me charge de tout cela. la bonne heure. G E R V A I S. Allons , enfants, à demain la OPÉRA-COMIQUE. 5^ FAUDEFILLE. COLIN. ?r:^—1—=v—N- :z^ ËEiEfeiÉE^Eiz5|= Auprès dun tendron à votre m^^mmmM â - ge ra - re - ment on peut lé - uf- ^zëzz^frzm: rEt^zfel —«--J—J—F-*jT~d— ?^- lîr, le travail iCft fort tn mé - na p=SiE— ge la peine pa2e le plai- ii^i^^iià=iiï lîr, la pei-nc paiîô le plai- fît. M«-s aT«c raoi ^U8 rie^: 4» TONNELIERj ne laf-fe dont lâge eft peu fait iimiifiiiiii au îox fir. Fa - ci - le ment ^Efel; s::=??::=f=r ?\ > U— :fc=st=: mm^ la pei - ne paf-fe, il ne ^s^â^iÊÊgi^ lefte que le plai - fir que le ÊgiïËÊËiËËrEË^ËË plai - fîr, que le plai - fiR G E R V A I S. Quand ma femme voit Teau trop balTe, î>t mon moulin prêt à tarir , Elle boude, fait la grimace, Sa- peine paffe J^^^if^^ > Mais quand le|^Hbmps fond la glace, £t (juc Teau cs^^Bce à groffir , Ma femme rie, la^Rie paife, Il ne relie que le plaiiir. FANÇH^ cœur ne veut point de partsçe,Songe toujours à me chérir


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