. Le Nu au salon. !Mais celle-ci est revêtue de limmortelle Beauté et cenest assez pour que le poète ne lui demande compte ni dece sang, ni de ces larmes, juste tribut payé par la dou-leur humaine à celle qui en est, à travers les âges, lim-mortelle consolation ! Moi je garde une admiration pleine de fraternité ins-tinctive aux peuples qui ont gardé cette religion de laFemme, dans le culte éperdu de sa beauté, qui en font unidole et non pas une bête de somme, comme nos campa-gnards politiciens. Ne te plains pas de la destinée, ô prisonnière peut-être,qui si glorieusement te dresses dans le tri
. Le Nu au salon. !Mais celle-ci est revêtue de limmortelle Beauté et cenest assez pour que le poète ne lui demande compte ni dece sang, ni de ces larmes, juste tribut payé par la dou-leur humaine à celle qui en est, à travers les âges, lim-mortelle consolation ! Moi je garde une admiration pleine de fraternité ins-tinctive aux peuples qui ont gardé cette religion de laFemme, dans le culte éperdu de sa beauté, qui en font unidole et non pas une bête de somme, comme nos campa-gnards politiciens. Ne te plains pas de la destinée, ô prisonnière peut-être,qui si glorieusement te dresses dans le triomphe de toncorps, encore toute caressée par le pinceau dun artistevraiment amoureux de ta Beauté. Dût le Bosphore ouvrirdéjà, pour toi, ses draps dazur, les derniers où tu dormirasen ce monde — avant dêtre, dans un autre, une immor-telle hoari, —tu auras connu la joie suprême de te savoirbelle et de te sentir adorée. Cest bien quelque chose quenavoir été Dieu même un seul instant !. (\\S(*^\
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