. L'illustration : journal universel . a trop, voici unjongleur qui joue auvolant avec unepoignée dassiettes,tes pieds plantés surde nombreuses ca-rafes disposées enpyramides. On ditquen Chine il nestpoint damusementcomplet sans lan-terne de couleur;au Cirque, pointde bonnes fêtes sansjeux de mains; ce-pendant , les raffi-nés préféreront tou-jours à ces innova-tions trop fragilesla grande manièrede Sands et des Ris-ley, lesquels, tra-vaillant les pieds enlair, nous éblouis-saient dun tourbil-lon de culbutes fan-tastiques et de sautspérilleux qui se résu-maient en deux char-mants démons quonret
. L'illustration : journal universel . a trop, voici unjongleur qui joue auvolant avec unepoignée dassiettes,tes pieds plantés surde nombreuses ca-rafes disposées enpyramides. On ditquen Chine il nestpoint damusementcomplet sans lan-terne de couleur;au Cirque, pointde bonnes fêtes sansjeux de mains; ce-pendant , les raffi-nés préféreront tou-jours à ces innova-tions trop fragilesla grande manièrede Sands et des Ris-ley, lesquels, tra-vaillant les pieds enlair, nous éblouis-saient dun tourbil-lon de culbutes fan-tastiques et de sautspérilleux qui se résu-maient en deux char-mants démons quonretrouvait perchéscomme par enchan-tement sur lun etlaulreorteil croyez-vousau bout des fourchescaudines dramati-ques? Comptez survos doigts, nous na-vons enregistré que cinq représentations, et la semaine en a eu sept, autant quede jours. Cest lOdeon qui va combler la mesure avec ( de. lendroit, pièce sans conséquence, et Datiinn etPijliùas. Cette dernière est charmante ; une grâce piquante,. Cirque national. — Léléphant Zobaide conduit par le I doQ Francisco, hida!go< tique et des amis dignes du Mouoinntapa ! On a nommé,comme auteur de cette csméJie poélii]ue, M. le marquis deBellny! LO léon ne voudrait-il pas nous laisser la républiquedes lettres ? Puisque nous son-mes sur la route duMidi, nous pousse-rons notre excursionjusquà Rome, poury signaler louver-ture du Cercle fran-çais, qui sest ou-vert le V mai, placedEspagne. Ceux denos compatriotes quiont séjourné dansla capitale du mon-de chrétien saventà quel point il leurétait difficile de de la ville éternellesurpasse ou du moinségale en étenduecelle de Paris, etlunique point deréunion était le sa-lon du directeur delEcole de Rome ;cest là seulementquils retrouvaientquelque image de lapatrie absente, lam-bassadeur de France,M. Rossi, le Piémon -ta I s ou le Saiiiia, ntd-meltant guère qtMdes Anglais dans lepalais des Colouna,au Ouir
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