La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ... . pour tirer dans la campagne îla Laitière la ramalTa i mais elle la remit aux€cns-de-la-maisoû. î-^ FAYSJNE PJERVERTIE, .„ , \mm, mm\iiit^^SSS^ijldm CXjCVlIlJ*^ 10 décembre. La, Même, à la Même,f La pauvre Infortunée raconte ce quelle a-fouf-fcrt depuis i Gomment on la-mise dans un lieu-ïnfameî comment elle Pen-eft-échappe , & cequelle ell-^evenue enfuitc. ] 1^1 mes deux Lettres, péniblement écri-tes avec un curedent trouvé par-hasar


La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ... . pour tirer dans la campagne îla Laitière la ramalTa i mais elle la remit aux€cns-de-la-maisoû. î-^ FAYSJNE PJERVERTIE, .„ , \mm, mm\iiit^^SSS^ijldm CXjCVlIlJ*^ 10 décembre. La, Même, à la Même,f La pauvre Infortunée raconte ce quelle a-fouf-fcrt depuis i Gomment on la-mise dans un lieu-ïnfameî comment elle Pen-eft-échappe , & cequelle ell-^evenue enfuitc. ] 1^1 mes deux Lettres, péniblement écri-tes avec un curedent trouvé par-hasard,& taillé a-Taide dun mauvais-couteau>avaient-pu vous être-remises, je neferais pas ici. Ah ! (i vous m*avie2-oubliée, apprenez que je me fuis encoreplus oubliée moi-même : On na pas defaibles pafRons dans notre Famille ! ellesnous portent au bien ou au mal avecexcès : lisez & frémifTez î Je venais de paiTcr ma Lettre à laLaitière: je la vis, ou crus la voir fcbailTer. Je men - retoui nai a ma loge,agitée dun commencement defpérance,pour y prendre un-peu de nourriture,,leile des Chats & des Chiens, quon me. Yjjme Partie. 12 donnait dans le même vase quà ces Âni* (que la vengeance ef! ingénieuse,longue & erueîîe chés îesîraliens !.... }Jalais manger, îorfque le Nègre a-paru-Il était à-dcmi-ivre. Il m*a-ordonné de ve-nir à lui, du langage & du ton dont on parleaux Chiens. Jai-fouri pour la première-fois, depuis mon malheur. * Je fuis for- , •sujet ^ de la tie à-reculons, fuivant mon usa^ njain brutale m*a - faisie , & ma-fait poufîer un cri. —Tu R*es pasgrofîe ^ ma -1 - il dit, en-employantle terme dont on fe fert pour les Ani-maux , & mon Maître ne te veut pasmettre à la porte, que tu n*aies un Petit de moi ; viens ( jurant des mots infâmes ). Je Tai-prié de me lâcher :Il ne ma-répondu quen-me fesant leplus de mal quil a-pu. Je me fuis-jetéefur lui. Loin de fefFrayer, il matten-dait la poitri


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