. Antiquités nationales, ou, Recueil de monumens : pour servir à l'histoire générale et particulière de l'empire françois, tels que tombeaux, inscriptions, statues, vitraux, fresques, etc. : tirés des abbayes, monastères, châteaux, et autres lieux devenus domaines nationaux. vier le Fèvre dOrmesson. François, qui épousa Marie de Vigni. André , qui épousa Marie de Longueil. Magdeleine , femme de Pierre de Chaillou. () Tous ont eu des descendans qui ont obtenu dimportantes dignitésdans létat ; mais ils se sont surroui icauj honorés de descendre deFrançois de Paule. Le père Claude Duvivier, re
. Antiquités nationales, ou, Recueil de monumens : pour servir à l'histoire générale et particulière de l'empire françois, tels que tombeaux, inscriptions, statues, vitraux, fresques, etc. : tirés des abbayes, monastères, châteaux, et autres lieux devenus domaines nationaux. vier le Fèvre dOrmesson. François, qui épousa Marie de Vigni. André , qui épousa Marie de Longueil. Magdeleine , femme de Pierre de Chaillou. () Tous ont eu des descendans qui ont obtenu dimportantes dignitésdans létat ; mais ils se sont surroui icauj honorés de descendre deFrançois de Paule. Le père Claude Duvivier, religieux minime , osa imprimer, en1620, que François de Paule étoit fils unique (18). • -Les dOrmesson ne supportèrent pas facilement quon osa tenterde leur ravir une origine aussi illustre , et ils suscitèrent au malheu-reux Duvivier une terrible persécution. Ils ne se contentèrent pasde le faire réfuter par Louis des Armoises (251), ils adressèrent (17) Héliot, Hist. dss Ordres monastiques, Tome VII, page 417. (18) Vie de saint François de Paule, par Claude Duvivier, minime , Rome, itfio,K30 , 1640 , in-%°. ( 19 ) Lettre à M. Duvivier, pour prouver que saint François de Paule a eu desneveux , par Charles-Louis des Armoises, sieur deChaillot. 2-1 leurs plaintes au général des Minimes , qui ne crut pas devoirse refuser à des hommes qui avoient un crédit si puissant et descharges aussi considérables dans létat ; il ordonna à Duvivier dese rétracter. Celui-ci ne voulut pas démentir ce, quil avoit écritavec permission ; il aima mieux être malheureux que parjure : ilsenfuit et se cacha. Les dOrmesson ajoutant alors à la persécutionune ironie barbare , rirent imprimer une seconde réfutation intitulée :Lettre à M. Duvivier quelque part quil soit. Il mourut une annéeaprès la publication de la seconde édition de son livre, en 1631. Les dOrmesson jouissent en paix actuellement de lhonneur dedescendre du thaumaturge Martori
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