. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. PRODl rrs I) KPANCHEMKNT 053 par se rompre, surtout à la chaleur du jour. Peut-être l'es- sence épanchée de la sorte intervient-elle, par l'action ahsor- hante qu'exercent ses vapeurs sur la radiation solaire, pour préserver la plante contre un échauffement trop intense. De môme, le mucilage épidermique des graines de Lin (lig. 160), de Moutarde, etc., se répand à la surface du tégu- ment, lors d
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. PRODl rrs I) KPANCHEMKNT 053 par se rompre, surtout à la chaleur du jour. Peut-être l'es- sence épanchée de la sorte intervient-elle, par l'action ahsor- hante qu'exercent ses vapeurs sur la radiation solaire, pour préserver la plante contre un échauffement trop intense. De môme, le mucilage épidermique des graines de Lin (lig. 160), de Moutarde, etc., se répand à la surface du tégu- ment, lors de la germination, le gonflement de ce produit en. Fig. 747. — I. rdiipe transversale do la couche périphérique iluni" feuille dr Mentiie {Mentha plperata), passant par une glande à essence. — a. épi- derme ; b, cavité uù s'accumule l'essence ; c. cuticule distendue ; d, cellules sécrélrices (8), et, au-dessous, la cellule unique aplatie du pied, puis la cel- lule basale. — II, coupe d'une glande lloi-ale de Chrysanthème {Chrysan- tliemum coronarium), montrant quatre cellules sécrétrices et deux cellules de pied. présence de l'eau entraînant la déchirure de la cuticule; la graine se trouve ainsi fixée aux ol)jets environnants. La formation et répanchement des gommes sont corréla- tives de la désorganisation de memjjranes cellulaires (p. 133). La cellule normale considérée comme cellule sécrétrice. — D'ordinaire, les cellules sécrélrices, par exemple les cellules à essence, à oxalate de calcium et à tanin, se distinguent nette- ment, par leur aspect, des autres cellules des parenchymes vivants. Les cellules à essence, par exemple (fig. 74(1), man- (juent de corps c]iloro[)hylliens et d'amidon; il en est de môme des cellules à myrosine ffig. 123, cl). Pareille distinction n'est plus apparente pour les cellules diastasigènes et pour d'autres encore; en sorle (jue, par une transition insensihlc, il devient possihle de p
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