. Annales de la Société des sciences naturelles de la Charente- Maritime. Phot. F. FaideauOstréiculteurs levant les huîtres portugaises dans un parcChâtelaillon (Charente-Inférieure) très, qui les relient plus solidement que le meilleurciment. Ajoutons quà la partie inférieure des murs,des ouvertures sont ménagées pour permettre lécoule-ment de leau au moment du jusant. Le travail du parqueur de gryphées est pénible, maispeu compliqué. Il consiste à séparer, sans les blesser,les huîtres qui sont trop tassées ; elles sallongeraient 14 démesurément, resteraient plates et invendables ; avecune so


. Annales de la Société des sciences naturelles de la Charente- Maritime. Phot. F. FaideauOstréiculteurs levant les huîtres portugaises dans un parcChâtelaillon (Charente-Inférieure) très, qui les relient plus solidement que le meilleurciment. Ajoutons quà la partie inférieure des murs,des ouvertures sont ménagées pour permettre lécoule-ment de leau au moment du jusant. Le travail du parqueur de gryphées est pénible, maispeu compliqué. Il consiste à séparer, sans les blesser,les huîtres qui sont trop tassées ; elles sallongeraient 14 démesurément, resteraient plates et invendables ; avecune sorte de petite pioche, dite marochon, il enlève labarbe, ou frange mince de croissance ; en un mot, ilcombat par tous les moyens en son pouvoir lélongationde lhuître. La bonne « portugaise » marchande estaussi arrondie que possible, avec une valve gauche.


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