. Le Monde moderne. snniis •■.<oinnule dil le lienlenanl-colonel .lans Innlredadieu t|nil lui aadresse re malin. Donc, ;i deux lieii-res, tous les mtn-rommixsioncdii//ifr:^.anx<picls sélaienijoilds un rapilaiiie elradjndanl-niajoi-, luiont oITei-l, dans lasalle dn nle^^s, \u\iIhéière cl un cicniieidar-enl. t;ravés à sc-initialcs. Vous allez dire i|nccest un cadeau bien anj^lais. — Soit. Maisje vous souhaite (lavoir souvent dans vosicjîimeuts des einéinonies coninie celle-ci,on la confraternité des sous-officiers entreeux et lestinio des chefs pour leurs sub-ordonnés se manifestent dune f
. Le Monde moderne. snniis •■.<oinnule dil le lienlenanl-colonel .lans Innlredadieu t|nil lui aadresse re malin. Donc, ;i deux lieii-res, tous les mtn-rommixsioncdii//ifr:^.anx<picls sélaienijoilds un rapilaiiie elradjndanl-niajoi-, luiont oITei-l, dans lasalle dn nle^^s, \u\iIhéière cl un cicniieidar-enl. t;ravés à sc-initialcs. Vous allez dire i|nccest un cadeau bien anj^lais. — Soit. Maisje vous souhaite (lavoir souvent dans vosicjîimeuts des einéinonies coninie celle-ci,on la confraternité des sous-officiers entreeux et lestinio des chefs pour leurs sub-ordonnés se manifestent dune façon aussiexpiessive el simplement touchante. \oulez-vous assister à une autre scène?.\llons au bal. A lentrée de la salle, noussommes reçus par un sergent, peigné,brossé, bichonné, pommadé, tout ruis-selant de parfum et peut-être ausside sueurI, irréprochablement ganté etsanglé dans sa tenue c[uelque peu fan-taisiste. Il offre son bras à la femmed un officier el il lui sert de 1 H«>lw Copj riijli, >8S8, bv niir|»T i Drolhrri. ltalieu en- crasde tenue soit dans un quadrille, soit pour la con-duire au buffet. Oui, certes, ce nest pasen France quon trouve de telles rela-tions, et nos officiers vivent moins danslinlimilé de leurs sous-officiers. Par contre, ils font plus le service deceux-ci. Trop de nos capitaines sabais-sent à dhumbles fonctions et soccupentde détails misérables. Lofficier doulre-Manche voit les choses de plus haut etmet le moins possible les pieds à la ca-serne. Tout au plus le lieutenant dejour y vient-il à lheure des repas. Ilpasse dans les chambres, à lheure où lesliommes sont à table, ou pUnàl il entre-bâille la porte, lance un rapide : «Pas ANGLAI;
Size: 1314px × 1902px
Photo credit: © Reading Room 2020 / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No
Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1890, bookpublisherparis, bookyear1895