. Le Monde moderne. francs au-jourdhui, et lonpeut il ire que cestpour les gens de goût le moment de sefournir à bon marché de temjis viendra que ces morceauxatleindront dans les ventes à ces prixfabuleux dont jai plus haul donné lidé est temps de parler, el pour linir,du xi siècle français, (elle école,à vrai dire, demanderait nn volume.!■ Pocliv minores. tes de la gravure,qui, dcjjuis les traducteurs des dessins deGravelot, dEisen et de Gabriel de , jusquà Ghollart, depuis Cochinjusquà Morcau, nous ont laissé tant depièces empreintes de limagination laplus ab
. Le Monde moderne. francs au-jourdhui, et lonpeut il ire que cestpour les gens de goût le moment de sefournir à bon marché de temjis viendra que ces morceauxatleindront dans les ventes à ces prixfabuleux dont jai plus haul donné lidé est temps de parler, el pour linir,du xi siècle français, (elle école,à vrai dire, demanderait nn volume.!■ Pocliv minores. tes de la gravure,qui, dcjjuis les traducteurs des dessins deGravelot, dEisen et de Gabriel de , jusquà Ghollart, depuis Cochinjusquà Morcau, nous ont laissé tant depièces empreintes de limagination laplus abondante et la plus souple, ou delespril dobservation le |)lus lin ; artistesinventifs el ingénieux enlic tous, augoùl délicat même les in\enlion8 LES ANCIENS MAITRES DE LEAL-FOHTE 3«â les plus capricieuses, au talent spirituel 1 les œuvres daucune époque ni clanspar excellence et dont IhAbilelé exquise, I lécole daucun pays. >,. Monsieur Fanfan. — Esu-forte de trcs savante sous des apparences fri- I Nous avons dit un mot de Cochinvoles, ne trouverait son équivalent dans | déjà, dont les capacités ont de beaucoup LES ANCIENS MAITHKS DE L EAL-KOIÎTE dépiissé rim]iortance de ses ouvrages;grand connaisseur en matière darl elqui donna du livre dAbraham liosseune édition revue et augmentée. Outreceux qui vieinienl dêtre mentionnés, ilfaut placer ici (iillot, artiste des plushabiles, qui fut le maître de \\alteau,doué dune pointe extrêmement spiri-tuelle et dune finesse de louche surpre- employait leau-forte à retenir les croquisquil tirait des œuvres des maîtres. Les doctrines dart qui prirent enfinle dessus vers la fin du siècle ilevaicnlruiner pour un temps leau-forlc. I. écolede David nen lit guère plus de cas quedes dessins à la sanguine. A mesure queles années marchent, on voit larttomber et salVaiblir : il sen faut que
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