Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres) . us atteste que Jean avait mérité ces malheurs, en supplantant, par voie de simonie, son père et son seigneur spirituel {\). Guibert applique à Jean ces paroles de Jacob à Ruben : Ascendisti cubile patris tui et Gènes., xlix, 4. maculasti thorum ejus, non crescas. Nous navons dailleurs aucun renseignement précis sur lusurpation reprochée à labbé Jean, lequel ne paraît à la tête du monastère qu
Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres) . us atteste que Jean avait mérité ces malheurs, en supplantant, par voie de simonie, son père et son seigneur spirituel {\). Guibert applique à Jean ces paroles de Jacob à Ruben : Ascendisti cubile patris tui et Gènes., xlix, 4. maculasti thorum ejus, non crescas. Nous navons dailleurs aucun renseignement précis sur lusurpation reprochée à labbé Jean, lequel ne paraît à la tête du monastère quaprès la mort de son prédécesseur Odon. III. GÉRARD Hector, évêque de Caliors, mourut en 4 199. Gaii. christ, t. i,Mais il était évêque depuis plus de cinquante ans, et ce fut ^ en ^-169 quil écrivit la lettre qui nous donne lieu de parlerde lui. Dans un voyage quil faisait en Italie, pour visiterun de ses pareiis, Èble, vicomte de Ventadour, qui reve-nait de Jérusalem, et quune maladie retenait au montCassin, Gérard Hector et ses compagnons tombèrent entre (1) Patrem et dominum suum spiritualem per supplantationem et simoniamhonore proprio spoliaverat. Tome XV. H h h h. XII SIECLE. CIO AUT. DE LETTRES, SERM. ET OPUSG. les mains dune troupe arnriéc qui les fit prisonniers. Obtenir sa délivrance et celle des gens de sa suite, est le but de répUre quil adresse à lempereur Frédéric, et dans laquelle il se dit parent du marquis dAubusson pour qui lempe- spicu., t. II, 403- reur avait de la bienveillance. Dachery a publié cette lettre 404-405. ^^^^ ^^j^j linscription : Friderico Dei gratiâ triumphatori et gloriosissimo Ronumorum imperatori, Geraldiis Caturcensis Virg., iEûeid. VI. episcopiis, parcere subjectis et debellare superbos. IV. Alexandre, abbé de Jumiéges, composa vers lanThés. Anecd. t. I, ^200, sclon Martène, une épUre purement théologique, quip. 777-780. occupe trois colonnes dans le tome premier du Thésaurus anecdotorum
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