. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 302 l-A comme le Rosier (fig. 408, E, a) cl le Trèfle, où elles sont allongées en laiigiieLle cl en partie concrescenlcs avec le pétiole. Dans le Pois cultivé ((ig. 438, c), elles acquièrent un énorme dévelop- pement et compensent par là, au point de vue de Tassimilalion, la réduction en vrille des trois ou cinq folioles terminales {h); dans la Gesse apliaca (fig. 418), les feuilles son
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 302 l-A comme le Rosier (fig. 408, E, a) cl le Trèfle, où elles sont allongées en laiigiieLle cl en partie concrescenlcs avec le pétiole. Dans le Pois cultivé ((ig. 438, c), elles acquièrent un énorme dévelop- pement et compensent par là, au point de vue de Tassimilalion, la réduction en vrille des trois ou cinq folioles terminales {h); dans la Gesse apliaca (fig. 418), les feuilles sont réduites à une longue vrille simple [b), et les larges stipules sont les seuls organes capables d'assimiler active- ment l'anhydride carbonique. Chez les Gaillels (lig. 419), où les feuilles sont opposées deux par deux, les stipules, au nombre de quatre (ou davantage) à chaque nœud, se déve- loppent autant qu'elles, en sorte que l'ensemble simule un faux verticille de six feuilles. La nature stipulaire de quatre de ces folioles est attestée parle raccord de leurs faisceaux propres à ceux des deux autres, lesquelhs appa- raissent ainsi comme les feuilles propre- ment dites (lig. 471). Dans les Polygonécs (Rhubarbe), l'étui, qualifié d'ochréa, qui enveloppe la base de la feuille et de l'entrenœud immédiatement supérieur, représente une double stipule très accrue. b) Les stipules sont au contraire cadu- ques dans la plupart des arbres fores- tiers; elles tombent, en effet, peu après l'épanouissement des feuilles (Charme, Ilétre, lig. 337, Châtaignier). Dans ce cas, l'unique rôle des stipules est d'abri- ter les jeunes feuilles à l'intérieur du bourgeon, et non de contribuer à l'as- similation chlorophyllienne, comme dans le cas précédemment étudié des stipules persistantes. Les folioles des feuilles composées peuvent être pourvues aussi à leur base de petites stipules, dites stipelles (Robinier, Haricot). Dans le Robinier Faux-
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