Étrennes lyriques anacréontiques pour l'année 1784 . on tourment,II tente vainement :Pour que fon œil séchappe,Du gofier fc preffant la foupape , *Il fait de trape en trape ,GlilTer 1 émail au fond. Que réfoudra-t-il donc,Faur* l mourir? Oh ! mande Mortifère » 53^ ÉTRENNBS Prend la plume, écrit à f«n NotaireiMais le plus ncccfTaircArriva le dernier. Notre preux Chevalier,Jurait conamc un forcier, Lcfculape enfin fonne,Prend le poulx, voit la langue & ralTonocîPuis à grands mots, ordoançUn petit lavement. Un fratcr à lindantSe préfente humblement,Puis un grnouil en terre,Avec art dirigea
Étrennes lyriques anacréontiques pour l'année 1784 . on tourment,II tente vainement :Pour que fon œil séchappe,Du gofier fc preffant la foupape , *Il fait de trape en trape ,GlilTer 1 émail au fond. Que réfoudra-t-il donc,Faur* l mourir? Oh ! mande Mortifère » 53^ ÉTRENNBS Prend la plume, écrit à f«n NotaireiMais le plus ncccfTaircArriva le dernier. Notre preux Chevalier,Jurait conamc un forcier, Lcfculape enfin fonne,Prend le poulx, voit la langue & ralTonocîPuis à grands mots, ordoançUn petit lavement. Un fratcr à lindantSe préfente humblement,Puis un grnouil en terre,Avec art dirigeant fon cUftère;Il fe jette en arrière,Le coeur glacé deffroi. Le cœur glacé deffroi,Il dit : ceft fait de moi,Et crie à fa voifine:Je vais quelquun qui , dit la ne vis des yçux-là, wQui Lyriques, 3 37 4c Qui VOUS fit des yeux-là?>? Expliquez-moi cela? »»— Heias ! mon œil de verreSe trouve fans doute à k portière.*< M^nfieur lApoticaire,« Votre clef louvrira, h Par M. C. de Lyoû^. ;jS ÉTRENVEf A MADEMOISELLE A I R : Daigne écouter | &:. ç %Jfi quelque iour )c fais choix dune Amie,Je veux quelle ait ton fourire & tes yeux :Q\xc par cfprit fa figure embelliePlaife aujourdhui, demain plaifc encor mieux. Je veux quelle ait ton heureux caradere,Et ta belle amt H tes jolis propos ;Je la voudrais feulement moins fcvcre;Mais lI faut bien quelle ait de tes défauts. Je veux quelle ait ces grâces , cet enfjmhîc,Tous ces talei-s dont je fuis enchante ;Et pour quen tout le Portrait te rofTcuilîle,Quil foit charmant & ne foit point flatte. Par M. MARSOLLiiR des Vivetieri Lyriques. 53^ A M. DE S. ANGE; TraduHeur des Mcumorphofes cTOvidc*A 1 R : Duign: écouter, Jl^ES heureux vers que ta Mufj publie,Auront toujours mille beautés pour moi :Charmant Auteur, laifTe crier ienvie :Va , pour tatteindre, elle eft trop loia de to^^ A ton travail, i^Dieu du goût préfide >Et tes efforts font autant de fuccè po
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