. Du tabac; description historique, botanique et é de é .-- . fie- a- couteau ; il les met ensuite à côté de lui et continue ainsi, en les arrangeant tontes dans le même sens, jusqu'à ce qu'il en ail formé un paquet d'une certaine hauteur; il passe alors la perche à travers tous les Irous. et, la relevant horizontalement, il espace les feuilles d'un demi-pouce (13 millimètres) on même de 1 pouce (26 millimètres), si le séchoir n'est pas très-aéré. » L'autre enfilage se
. Du tabac; description historique, botanique et é de é .-- . fie- a- couteau ; il les met ensuite à côté de lui et continue ainsi, en les arrangeant tontes dans le même sens, jusqu'à ce qu'il en ail formé un paquet d'une certaine hauteur; il passe alors la perche à travers tous les Irous. et, la relevant horizontalement, il espace les feuilles d'un demi-pouce (13 millimètres) on même de 1 pouce (26 millimètres), si le séchoir n'est pas très-aéré. » L'autre enfilage se fait au moyen d'une fieelle à l'un des bouts de laquelle est adaptée une aiguille longue d'un j)ied (515 millimètres) ; on perce simple- ment avec celle aiguille (fig. 10) les feuilles dans leur parlie la plus solide, en les espaçant sur le cor- deau, comme on l'a indiqué pour l'enfilage à la perche. La longueur de ces ficelles, comme celle des perches, doit être déterminée par l'étendue du séchoir: en tout cas, celle étendue ne doit pas êlre Irop grande afin de permettre aux cordeaux comme aux perches de supporter leurs charges. Les feuilles cnfi-
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