. comptesrendusheb1451907acad. es naturelles. SÃANCE DU 16 SEPTEMBRE 1907. 533 de Grenacher (1879) et qui a été étudiée notamment par Ciaccio (1876, 1889), Carrière (i885), Hickson (i885). Les descriptions de ces auteurs sont insuffisantes ou inexactes sur plusieurs points, en particulier sur la structure des éléments photorécepteurs qu'on désigne sous le nom de rhab- doméres. On sait qu'une ommatidie pseudocône [nous prendrons pour type l'ommalidie de la Mouche bleue de la viande {Calliphora vomitoria L.)] comprend, sous la cor- néule, une cavilé en forme de clochelle renversée
. comptesrendusheb1451907acad. es naturelles. SÃANCE DU 16 SEPTEMBRE 1907. 533 de Grenacher (1879) et qui a été étudiée notamment par Ciaccio (1876, 1889), Carrière (i885), Hickson (i885). Les descriptions de ces auteurs sont insuffisantes ou inexactes sur plusieurs points, en particulier sur la structure des éléments photorécepteurs qu'on désigne sous le nom de rhab- doméres. On sait qu'une ommatidie pseudocône [nous prendrons pour type l'ommalidie de la Mouche bleue de la viande {Calliphora vomitoria L.)] comprend, sous la cor- néule, une cavilé en forme de clochelle renversée à contenu transparent, liquide ou semi-liquide, qui remplace le cône cristallin des ommatidies du type ettcdne. Les quatre cellules cristallines, auxquelles on attribue la sécrétion de la substance fluide de ce pseudocvne, sont situées profondément vers le fond de la clochette, entre le pseudocône et la rétinule; les noyaux de ces cellules cristallines sont les homologues des quatre noyaux (noyaux de Semper) qui, dans les autres types d'yeux composés, sont situés au contact de la facelte cornéulaire. Deux cellules pigmentaires principales circonscrivent sur toute sa hauteur la paroi latérale du pseudocône et contournent les quatre cellules cristallines, pour former finalement un iris entre celles-ci et la réti- nule (Ji^. A).. Extrémité distale d'une ommatidie de Mouche. A, Coupe longitudinale. â B, Extrémité des rlialjdoniéres à un plus fort grossissement, montrant les baguettes et les épines terminales ilans l'entonnoir. â C. Coupes trans- versales de la même région : entre les quatre lellules cristallines, l'une des coupes montre le faisceau des sept baguettes terminales colorées en noir; sur l'autre, passant au nireau des épines de la (igure B, on voit que celles-ci correspondent i. la section de bandelettes interposées entre les extrémités des rhabdomères. La r
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