. L'art à la Taverne de Paris. Chéret, Abel Faivre, Grün, Léandre, Métivet, Steinlen, Willette, artistes peintres. Emile Robert, ferronnier d'art. Jacques Hermant, architecte. Photogravures de Ducourtioux et Huillard, d'après les clichés de Simonet. vu à travers un verre grossissant, concave on convexeselon les besoins. Celle comédie des belles dames où Eve crie « la pomme! » à Adam,où le duc de Joyeuse est si joliment « la tante du roi », où Sa|)ho « jonc un ])etil aiidhomme » est typique. De plus Mélivet sappli<pie à enluminer ses dessins cl ne ri-cnlc pasdcxant lejaune plaqué sur le bleu
. L'art à la Taverne de Paris. Chéret, Abel Faivre, Grün, Léandre, Métivet, Steinlen, Willette, artistes peintres. Emile Robert, ferronnier d'art. Jacques Hermant, architecte. Photogravures de Ducourtioux et Huillard, d'après les clichés de Simonet. vu à travers un verre grossissant, concave on convexeselon les besoins. Celle comédie des belles dames où Eve crie « la pomme! » à Adam,où le duc de Joyeuse est si joliment « la tante du roi », où Sa|)ho « jonc un ])etil aiidhomme » est typique. De plus Mélivet sappli<pie à enluminer ses dessins cl ne ri-cnlc pasdcxant lejaune plaqué sur le bleu, le noir encadrant des man\es dw mcillcui gonl. Cestoutrancier, cest spirituel cependant, cl cest avec plaisir (|uc lon fenillettc les publi-cations où la ianlaisie de ce peintre se donne libre earrièri. Les dessins au trait sont dun réalisme piquanl : (ui réalisnu- (pu ne savouepas. ((inunc nu mot rosse dont on ne peut caser la hardiesse dans imc conversationet (pii loni dun cou[) séchappe de la bouche inconscienuuent. On regrette ([uebpu^foisde lavoir lâché lI |)nis ou soniit. on sexcuse, el cest tout; Méti\ct signe ainsi sesdessins. Avez-vons lu les cpiatrains du vieux Monsieur el cpie sais-ji- eiuori-. le lUic, le. LUCIEN METIVET Journal Arnumiit, fourinilUiil do i)ai,^es (jui soûl dun j,M)iit i>X(|iiis. ( hieUjues illus-trations UR- plaisent par K-ur dclicalissi-, leur soin, Icuf tournuir alcilc cl vive. Jeciterai coiunu mcnutirc : ^oi(■i dc.^ ailes de Maurice Leblanc. Variations sur lemême air de ^alda,lrnc. Le petit art daimer de Silveslie, LHomme orchestre îleCatulle Mendcs. Dautres encore qui sont des livirs don! le texte est lleuii çà et làd lin l)i)U(iuet de visages souriants. Mclivet a retourné las de cceui- sur les lèvres de ses petites danics cl dès laplus liaiilc aiili(piilé: elles oui a\et lui appris à piiudre de lanioui- ce (piil y a de|.lus Niai : Icbaiseiel la joie du nionicnl. .. Cest aussi lillustrateni- qui ex
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