Gazette des beaux-arts . que des copies, dans les mêmes dimensions et en sens inverse, des gravures 12Z| GAZETTE DES BEAUX-ARTS. formant les numéros 3 et 4 de la suite de six bacchanales inventées et gravées parMichel Dorigny, à ladresse de Mariette, décrites dans le Peintre graveur français, deM. Robert Dumesnil, sous les numéros 8 et 9. Le groupe de figures de la peinture desAndelys eorrespond parfaitement au numéro 4, ainsi décrit : « Homme et femme por-tant un grand vase et se dirigeant à la gauche du devant, où des enfants les précèdent,jouant de divers instruments. » Je nen juge que par
Gazette des beaux-arts . que des copies, dans les mêmes dimensions et en sens inverse, des gravures 12Z| GAZETTE DES BEAUX-ARTS. formant les numéros 3 et 4 de la suite de six bacchanales inventées et gravées parMichel Dorigny, à ladresse de Mariette, décrites dans le Peintre graveur français, deM. Robert Dumesnil, sous les numéros 8 et 9. Le groupe de figures de la peinture desAndelys eorrespond parfaitement au numéro 4, ainsi décrit : « Homme et femme por-tant un grand vase et se dirigeant à la gauche du devant, où des enfants les précèdent,jouant de divers instruments. » Je nen juge que par la petite gravure de la Gazette;ceux qui connaissent la peinture même décideront maintenant si elle peut être un tra-vail original de Dorigny ou celui dun décorateur ( il y en a toujours dhabiles parmiles inconnus) qui aura placé ce groupe tout fait dans un de ces paysages. Tout ce queje vois, cest que la gravure de Dorigny, dans sa manière fadasse, a de la soudainetéet du ragoût. » J. Sur la vie de Pierre Lescot, il ny avait guère de connu que la fameuse histoire desa barbe et les beaux vers de Ronsard. A peu près tout larticle de M. Berty est doncnouveau et par là des plus curieux ; je nai rien à y reprendre, rien même à y ajouterqui soit vraiment nouveau après lui, mais je puis apporter plusieurs surtout sera dautant plus précieuse à M. Berty quelle porte sur une suppositionquil a faite et qui est en réalité de la plus complète certitude. Elle résulte pour moidun factum imprimé que jai sous les yeux. Il a échappé à M. Berty, ce qui est biennaturel ; le hasard ne sert jamais que ceux qui cherchent et qui cherchent bien, mais ilne les sert pas toujours, et, dans le meilleur travail, il y a toujours quelque chose dedonné ou de refusé par le hasard. La pièce dont je parle est un in-4° de 27 pages qui a pour titre : « Fins de donrecevoir et subordinement deffenses en proposition derreur pour maistre Lé
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