Inflammations et catarrhe de la vessie, gravelle, des divers moyens de combattre ces affections . cequon croyait alors quil formait la base de tous lescalculs urinaires. La partie blanche des excrémentsdes oiseaux est constituée par ce corps. Dans lurine — 17J — humaine refroidie, on le trouve souvenl sous laforme dun dépôt pulvérulent de couleur rose pâleou rouge brun, adhérant aux parois du vase. Il résulte des expériences faites par Smith etBigelow, que dans la moitié des calculs urinaires ily a de lacide urique, soit pur, soit combiné. Lesproductions dacide urique sont donc très-com-munes.
Inflammations et catarrhe de la vessie, gravelle, des divers moyens de combattre ces affections . cequon croyait alors quil formait la base de tous lescalculs urinaires. La partie blanche des excrémentsdes oiseaux est constituée par ce corps. Dans lurine — 17J — humaine refroidie, on le trouve souvenl sous laforme dun dépôt pulvérulent de couleur rose pâleou rouge brun, adhérant aux parois du vase. Il résulte des expériences faites par Smith etBigelow, que dans la moitié des calculs urinaires ily a de lacide urique, soit pur, soit combiné. Lesproductions dacide urique sont donc très-com-munes. Ce corps peut à lui seul former un calcul,mais le plus souvent il se trouve mêlé à des quan-tités de soude, de potasse ou de phosphate dechaux. Cet acide se trouve, chez les malades, à létat desable, de gravelle, de calcul. La coloration en est généralement jaune serapprochant du rouge, surtout à létat de sable;cependant il est quelquefois blanc ou gris et pré-sente, quand on le brise, des points brillants. Laspect extérieur de la concrétion est presque Fig. Cristaux dacide urique. — 180 —toujours lisse. Sa force de cohésion est relativementgrande. Au microscope, les cristaux qui constituent lacideurique se présentent sous laspect indiqué dans lafigure 28. URATE DAMMONIAQUE. Lexpérience pour découvrir lacide urique est entout applicable à la recherche de lurate dammo-niaque. La seule différence commence quand onsoumet le second échantillon à laction de leaubouillante. Ici, la concrétion se laisse fortement en-tamer par la chaleur; la dissolution sans doute nestpas complète, mais elle est beaucoup plus appré-ciable que dans le cas précédent. On ne retrouve pas dans la concrétion duratedammoniaque le fond rouge de lacide urique. La Fig. 29.
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