Åuvres diverses de M L de Chaulieu . © feu Monfieur Quetin.,d*!ieareu!e a:iémoire , par mes ouvrages ; ]cne travaillerai plus que pour ceux ci, vousavez pJus de bêtes que je n*ai dimagination,& il vous faut prendre Bourfault à gages pourfaire des Epitaphes , fi vous voulez avoir au-tant de chiens que vous en avez , vous pour-rez bien tôt , fi vous voulez , voir de fes ou-vrages i jecroi quavant la fin de lhiver iltravaillera pour Délie : plaife au ciel quil lefît auffi pour cette coquine de Dodo , dontje porte les marques, & le pauvre Ruvigni *fans compter les derniers coups de dentsquell
Åuvres diverses de M L de Chaulieu . © feu Monfieur Quetin.,d*!ieareu!e a:iémoire , par mes ouvrages ; ]cne travaillerai plus que pour ceux ci, vousavez pJus de bêtes que je n*ai dimagination,& il vous faut prendre Bourfault à gages pourfaire des Epitaphes , fi vous voulez avoir au-tant de chiens que vous en avez , vous pour-rez bien tôt , fi vous voulez , voir de fes ou-vrages i jecroi quavant la fin de lhiver iltravaillera pour Délie : plaife au ciel quil lefît auffi pour cette coquine de Dodo , dontje porte les marques, & le pauvre Ruvigni *fans compter les derniers coups de dentsquelle donna à la Farre. Nous ferons dans trois jours à Aix , &dans quatre , Monfieur votre Neveu fera dansles agonies des harangues &: des cérémo-nies* Priez Dieu pour lui , & le recomman-dez aux prières des Pères Théatins. Je Juisavec un très-profond refpecl , Madame, le ^â¢74 OEuvres dhjrfês plus humble & aiTurcment le plus paflîonnè de tous vos Serviteurs, L. D. C. \à Lyon le i8, dVStohre lôSu I. 1 ie M. L. de ChauHeu* 475 A LA M E S M £. SEcai-je donc toujours accablé de vos bro-cards , Madame, faudra-t*il que vousparliez fans ceflc de «la foiblelfc , fans avoirjamais éprouvé mes forces. Pourquoi atta<juer ma façon dainer , fans avoir voulu é-coucer mon amour ? ne peut être pluslas que je le fuis de vos injuftices & de vo-tre langue h quand je lifois THiftoire autre-fois , avant que leuffe perdu les yeux à cemétier, que vous dites que je fais fi rarement& fi mal, elle mapritque le Rai Henri IlLfatigué des fermons d*un Prédicateur de laLigue , quiparloic auflî librement de fesvi-ces , que vous parlez de mon i mpuiffance ,au lien de fe fâcher, lui cnvoïa un grand potde miel pour lui adoucir la gorge pendantfon Garême. A lexemple de ce bon Prince »je vQus envoï« deux cruches de mon huil fi 47^ Oluvres diverfes npn ce celle de MefTieursvos Neveux, paurtâcher d^émoufTe
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