journal francoise 21 nov 1903 . testament de CharlesII, fit .son entiée solennelle à recevoir ce prince avec plus dem=igni6cence, on prépara, dit un his-torien, un superbe autodafé, cest à-dire un bûcher où devaient être brûlésune douzaine de juifs et autres mé-créants. Le jeune prince français,bien que résolu à se conformer autantque possible aux mœur^ et coutumesdu peuple sur lequel il devait régner,déclara hautement quil ne voulait pasêtre le témoin dune pareille cérémo-nie ; et lauodafé se célébra ce te ioissans être honoré de la présence dumonarque. *??* Une madame de Castelau


journal francoise 21 nov 1903 . testament de CharlesII, fit .son entiée solennelle à recevoir ce prince avec plus dem=igni6cence, on prépara, dit un his-torien, un superbe autodafé, cest à-dire un bûcher où devaient être brûlésune douzaine de juifs et autres mé-créants. Le jeune prince français,bien que résolu à se conformer autantque possible aux mœur^ et coutumesdu peuple sur lequel il devait régner,déclara hautement quil ne voulait pasêtre le témoin dune pareille cérémo-nie ; et lauodafé se célébra ce te ioissans être honoré de la présence dumonarque. *??* Une madame de Castelaue, qui semêlait de prédictions, avait aiuioncSà Charles IX, roi de France, qiiil vi-vrait autant de jours quil ferait detours dans une heure eu pirouettantsur un pied. Le roi désireux de vivrelongtemps ])irouettait une heure chambre chaque matin. Telles tJous dotuient pourmaîtres des hommes dont nous ne voii-drioflîî pas pottr laqnai«. LE jOtJRMAL t>E FRÂNÇOrSË. LE COIN DE FAlSrCHETTB \ Marion.—Les réclames faites par; Joi-TKNAL îJii Fkançoisf, soiit hon-nêtes ; 015 ny \ante que ce qui méritede lêtre, Cette modiste est excel-lente, A propos, voulez-vous me per-mettre de vous vous faire remarquerque cest à tort que vous emploj^ezindifféremment les mots modisteet couturière pour désigner unefaiseuse de chapeaux. C est une fauteque lon fait très coramunémeut. Unemodiste .soccupe de chapeaax, unecouturière, de robes, ainsi une coutu-rière nest jamais une modiste et vice-versa. 2° Votre seconde demandenest pas de ma compétence ; consul-tez plutôt un médecin. Si vous dési-rez que je vous recommande quel-quun particulièrement, je le ferai,mais par lettre seulement. Admirateur de Balzac. — Vous entenez très fort pour Mme lui même neut pas été, , je lecrains, constant dune façon si à Madame la duchesse dA-brantès que pensait le maître quandiî a écxilLaFemincdeiren


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