L'Hystoire des devx prevx tres nobles et tres-vaillans chevaliers Valentin et Orson : fils de l'Empereur de Grece, & nepueux du tres-vaillant & tres-Chrestien Roy de France, Pepin Contenant plusieurs & diuerses matieres, comme vous pourrez veoir cy apres . audide tuahifon 4efcouuerce. QcmmeOrfonqHanchnle y ouoit iugei tniji oppofr-ùm ér demanda champ de b,itadle contrefisaccu/ateurs lefcjudspar hi douT^e > Vas luyftiji oUroy è. ChAP. XXXV. QVand Orfon fut deuant le Roy& les iuges de Ton Palais quipour le condamner eftoient alTem-blez il parla deuant tous & dis. Siretref-redouté Se tous feig
L'Hystoire des devx prevx tres nobles et tres-vaillans chevaliers Valentin et Orson : fils de l'Empereur de Grece, & nepueux du tres-vaillant & tres-Chrestien Roy de France, Pepin Contenant plusieurs & diuerses matieres, comme vous pourrez veoir cy apres . audide tuahifon 4efcouuerce. QcmmeOrfonqHanchnle y ouoit iugei tniji oppofr-ùm ér demanda champ de b,itadle contrefisaccu/ateurs lefcjudspar hi douT^e > Vas luyftiji oUroy è. ChAP. XXXV. QVand Orfon fut deuant le Roy& les iuges de Ton Palais quipour le condamner eftoient alTem-blez il parla deuant tous & dis. Siretref-redouté Se tous feignears, Doc-teurs Barons Se , vous fça-uez quil nell homme qui de trahifonfe puiffe garder ou fuyr de la fortunequand elle vient, & puis que ainfi eftque ieluisaccufé de crime contre latnàicfté Royalle : ceftde là mort duRày,&eftestousalfemblezpour fai-re de moy iugement , & que de maparolle ie ne puis efire entre mes en-.^értiisjie demande deuant tous le droi6l& la contre la maiellé Royalle & il le veut deffea-ioy de voftre palais qui eft telle que quand vn dreencfhampde bataille, il doit eftrereceu:oi*^çheuaUèrefttfcçuIé demeurée ou de trahifon fuisie cheualier qui me tient fans reproche. 5c. VALENTIN ET OPvSON. au cas îniio:ent,(4 veux par lordonnnnce deC- corps prefent cala iourn .e, 1 jqiiellc vous Te -fusdictecTttercccu en mcsdelîences riaffignée. Alonc niaffroy e lequel dcuant toute voflre rerentpour Orfon &r promirent le rendre a vupuilTaiiceiebaiïle &: deliiire& h ie fuis en ba- iour qui fera affignéavn moisenfuiuanttquâdtaille vaincu faidles de mon corps iuftice cornr la fin du mois fut veni)ë& le iour quon dcuoicmeicdro*^!: lerequicrc. Orfondis Guernier, combatrele Duc MillondAnglerjSanfon,Ga-de telle chofe vous pouuez bien taire: car ja ne leran,& Geruais amenèrent Orfon : car f( rcplaifeà Dieu que de telle cho
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