. L'illustration : journal universel . ts de thèse;mais il est peu de ces élus. Un autre moyen démula-tion consiste dans la distri-bution annuelle de prix dé-cernés au concours pourchaque branche denseigne-ment. Après le premier examen,lélève, si, bien entendu, lé-preuve lui a été i favorable,prend le titre de bachelier endroit. Le second lui confèrele grade de capax. Les deuxderniers, suivis de la thèse,le conduisent à la licence. Lejury dexamen passe pourtrès-sévère dans la faculléde Haris. Cest peut-être uneréputation que les paresseuxlui ont faite. Quoi quil en soit,cette facullé crée enco


. L'illustration : journal universel . ts de thèse;mais il est peu de ces élus. Un autre moyen démula-tion consiste dans la distri-bution annuelle de prix dé-cernés au concours pourchaque branche denseigne-ment. Après le premier examen,lélève, si, bien entendu, lé-preuve lui a été i favorable,prend le titre de bachelier endroit. Le second lui confèrele grade de capax. Les deuxderniers, suivis de la thèse,le conduisent à la licence. Lejury dexamen passe pourtrès-sévère dans la faculléde Haris. Cest peut-être uneréputation que les paresseuxlui ont faite. Quoi quil en soit,cette facullé crée encore,bon an, mal an, un demi-mil-lier davocats au moins, ce quiest un assez beau chiffre etpromet ample protection à laveuve et à lorphelin. Le nom-bre moyen des étudiants in-scrits sur les registres de lé-cole est de trois mille, ce quisemblerait impliquer une pro-duction annuelle de mille avo-cats environ ; mais, de ce nom-bre, il faut retrancher uneassez grande quantité détu-diants, inscrits pour la qui ne poussent pas jusquau bout les épreuves de la li-cence, ou, désespérant dobtenir leur admission à Paris, fi-nissent par aller terminer leur droit dans quelque faculté LÉcole de droit de Pans — Lu crand amphithéâtre pendant un concours. de province, OÙ ils se flattent de trouver un jury plus instant on a pu penser, grice à la progression crois- sante que suivaient les inscriptions aux facultés de droit etde médecine, que la France allait se couvrir de médecinset davocats. Il nen est rien heureusement. De nouvelles 282 LILLUSrilAllON, JOURNAL UNIVERSEL. condiliiMis ,l(liil(s imposées pniii ladmission aux coursdes liuiii •■ 1 I ! ■ ili ccil! liJVri; qui pnussiil la jeunesseaux |iii 1 ■ il-îs; la réir-xion el,-lpx|iérience lontcalmét! lhi- Miiviihiji encore, et le n(unl)re dès étudiants endroit iusciils ù lcoole de Paris reste depuis•1830. Quant aux médjcins, on expriiii lii •!


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