La Lecture . entré,comme englouti au milieu decette foule,des tètes, des doigtscrispés, des regards, des lèvresse tendent vers lui, larrêtent,le harcèlent, laccrochent, luicoupent la retraite : — Suis-jereçu? (ïodard, LouisGodard ! — Palmarin est-il admissible? — Mon fils, mon fils, Jean Bouireard, est-il admis ? — Et Martineau? — Et Galabert? — Bonneval, monsieur, Honne-\al \ — Suberville, Suberxille, Amé- ffdée? Lautre se débat riimmr il peut,repousse les petites mains qui secramponnent à ses vêtements, lesmères qui le tirent ])ar le pan de smihabit, icairne la porte du laiil)i>ur<j: e
La Lecture . entré,comme englouti au milieu decette foule,des tètes, des doigtscrispés, des regards, des lèvresse tendent vers lui, larrêtent,le harcèlent, laccrochent, luicoupent la retraite : — Suis-jereçu? (ïodard, LouisGodard ! — Palmarin est-il admissible? — Mon fils, mon fils, Jean Bouireard, est-il admis ? — Et Martineau? — Et Galabert? — Bonneval, monsieur, Honne-\al \ — Suberville, Suberxille, Amé- ffdée? Lautre se débat riimmr il peut,repousse les petites mains qui secramponnent à ses vêtements, lesmères qui le tirent ])ar le pan de smihabit, icairne la porte du laiil)i>ur<j: enrépondant : « Je ne sais i)as. — Je neme rap|)elle pas. — Je crois (pie oui.— Jai |)eur que non. — ii vous com-muniquera la list) Va il séchappecomme il peut. On dirait ime victimelivrée aux m<uades. De jolies mt-nades,parfdis. Mais ce nest pas lui (juil laiiljdaindre, nt»ii ; cest, dans cett(^ Inul •,tous les malhenr<Mi\ qui atlendcut. es-.
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