Origine des découvertes attribuées aux modernes : où l'on démontre que nos plus célebres philosophes ont puisé la plupart de leurs connoissances dans les ouvrages des anciens : & que plusieurs vérités importantes sur la religion ont été connues des sages du paganisme . â pila, adverfis pofitâ folis , lib. ^7 , feâ:. 10. Expertum à fe féliciter tef-tatur Mathiolus in lib. 5. Diofcorid, c. 116 , pag,1338. (4) Orbem vitreum plénum aqua! , fi tenueris iûfoie, de lumine quod ab aquâ refulgct, ignis accen-ditur, etiam in durifTimo frigore. LaSIancius ,lib. deira Dei, c. lo. — Nam ut ars
Origine des découvertes attribuées aux modernes : où l'on démontre que nos plus célebres philosophes ont puisé la plupart de leurs connoissances dans les ouvrages des anciens : & que plusieurs vérités importantes sur la religion ont été connues des sages du paganisme . â pila, adverfis pofitâ folis , lib. ^7 , feâ:. 10. Expertum à fe féliciter tef-tatur Mathiolus in lib. 5. Diofcorid, c. 116 , pag,1338. (4) Orbem vitreum plénum aqua! , fi tenueris iûfoie, de lumine quod ab aquâ refulgct, ignis accen-ditur, etiam in durifTimo frigore. LaSIancius ,lib. deira Dei, c. lo. — Nam ut ars viam excogitat, qu^.lux quac à foie proccdit, per vas vitreum aquâ pie». M iv î84 Miroirs ardents. des verres qui brûloient par réfradion. Lepremier les appelle des boules de verre , oude cryftal » qui , expofées au foleil, brû-loienr les habits , ôc les chairs des malades,qui avoient befuin dêtre cautérifées. Lac-tance 6c Clément dAlexandrie parlent de lamanière de brûler avec des verres convexesremplis deau , â travers lefquels on faifoiçpalfer les rayons du foleil. num ignefcat ; ita etiam , &c. Clemens AlexandreSirom. lib. 6 , p. 688. D, Voyez aufTi Orph&i opéra^ Lipf. 17^4, 8. p, \qj^|o8 s & la iecft. ou fuiv». CHAPITRE IX. De plujieurs découvertes des Anciens dans lesMathématiques y VAJlronomie , &c^ 259. On écriroir un gros livre de Thiftoire Découvertes ^ 11/ • 1 <^^5 Anciens de toutes les découvertes importantes dans dans ks Ma- \ I I \ \ f oit tnématiques, la gcometne , les mathématiques & la phi- ^rop longueslofophie 5 dont nous fommes redevables aux * ** ^^Anciens; aufli, pour ne pas groiîir ce vo-lume , nous nous contenterons feulementden indiquer ici en peu de mots les princi-pales 5 fur lefquelles nous jugeons quil eftinutile de nous arrêter autant que nous avonsfait fur les autres , dautant plus que celles-ci,dun aveu général, doivent leur origine auxphilofophes de lantiquité , à qui nous lesrapporto
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