. Beihefte zum botanischen Centralblatt. Plants. ^^ Fig. 97 bis. Feuilles panachees de YElaeagnus pungens — I, section transversale de l'epiderme et de l'hypoderme (region depourvue de ehlorophylle; II, cellules de Tepiderme superieur, vues par leur face externe (partie verte); III, ces memes cellules dans la region panachee. Enfin, si nous comparons la structure d'une feuille provenant d'une plante normale ä une feuille verte ou presque totalement verte d'un arbuste ä feuilles ordinairement panachees, en ayant soin de choisir des feuilles du meme äge, de meme taille et sem- blablement placees
. Beihefte zum botanischen Centralblatt. Plants. ^^ Fig. 97 bis. Feuilles panachees de YElaeagnus pungens — I, section transversale de l'epiderme et de l'hypoderme (region depourvue de ehlorophylle; II, cellules de Tepiderme superieur, vues par leur face externe (partie verte); III, ces memes cellules dans la region panachee. Enfin, si nous comparons la structure d'une feuille provenant d'une plante normale ä une feuille verte ou presque totalement verte d'un arbuste ä feuilles ordinairement panachees, en ayant soin de choisir des feuilles du meme äge, de meme taille et sem- blablement placees sur les rameaux, nous constatons certaines differences: ainsi, la premiere contient des grains de ehlorophylle plus petits et plus nombreux que ceux de la seconde; seule, eile renferme des aiguilles d'oxalate de calcium dans son epiderme et son hypoderme; sa premiere assise de palissades est toujours tres allongee, tres chlorophyllienne, tandis que dans la feuille de la plante panachee cette assise est souvent de faible hauteur et moins riche en ehlorophylle que 1'assise sous-jacente. Pour toutes ces raisons, nous admettons donc que la panachure, chez E. pungens, n'est pas une maladie localisee en certains points de la feuille, mais b'en une maladie generale atteignant tout l'ar- buste. A. Rodrigue, M"«- (90) est d'ailleurs arrivee ä cette meme conclusion apres une etude generale sur les feuilles panachees. Galles. Aetion des piqüres d'insectes. Comme nous le savons dejä, certains insectes du groupe des Coccides vivent en parasites a la face inferieure des feuilles de VE. pungens et des especes voisines {E. lanceolata, E. macropTiylla etc.); ils se fixent par leurrostre, soit le long de la nervure mediane, soit au voisinage de la marge. Sous l'action de leurs piqüres, la structure de la nervure (fig. 98, II) se modifie de la fa9on suivante (etude de coupes pratiquees sur E. lanceolata): 1 '* le parenchyme. Please note that these images are extracted from scanned
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