. Les Français peints par eux-mêmes . nier tiers de la fortunedes Rentiers, réduite de moitié par labbé Terray, et queréduiront encore les Chambres avec dautant plus de fa-cilité que, quand une trahison légale est commise parmille personnes, elle ne charge la conscience vain tu as lu pendant trente ans, sur les affiches tourà tour républicaines, impériales et royales du Trésor :Rentes perpéteeiles ! -Malgré ce jeu de mots, pauvreagneau social, lu seras tondu en 1848, comme en ■1690,comme en 1750. Sais-tu pourquoi. tu nauras peut-êtreque moi pour défenseur. En France, qui |irotége le


. Les Français peints par eux-mêmes . nier tiers de la fortunedes Rentiers, réduite de moitié par labbé Terray, et queréduiront encore les Chambres avec dautant plus de fa-cilité que, quand une trahison légale est commise parmille personnes, elle ne charge la conscience vain tu as lu pendant trente ans, sur les affiches tourà tour républicaines, impériales et royales du Trésor :Rentes perpéteeiles ! -Malgré ce jeu de mots, pauvreagneau social, lu seras tondu en 1848, comme en ■1690,comme en 1750. Sais-tu pourquoi. tu nauras peut-êtreque moi pour défenseur. En France, qui |irotége le faiblerécolle une moisson dinjures lapidaires. On y aime tropla plaisanterie, le seul fou dartifice que tu ne vois pas,pour (|ue tu puisses y être plaint. Lorsque lu seras am-puté du quart de ta renie, ton Paris bien-aimé te rira aunez, il lâchera sur toi les crayons de la caricature, il techantera des complaintes pour De profundis. enfin il leclouera entre quatre planches lilhograpliiques ornées


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