. Les oewres de chirurgie de Iacques Guillemeau, chirurgien ordinaire du Roy et Iure a Paris : avec les portraits et figures de toutes les parties du corps humain et des instrumens necessaires au chirurgien . ,fe guérit auec remèdes deiiecatifs, comme aucc ce remède recommandé parAécc. aluminis, fiacmedicamétum, le Collyre que nous ^medeauons deferit pour le Myochephalon eft fingulier. Iay veu expérimenter vn peu****dhuile devitriol&: len toucher, ayant premièrement bien garni lœil. Maisfi cefte M jtexcroifTanceeft grande &t maligne, fans toutefois quelle
. Les oewres de chirurgie de Iacques Guillemeau, chirurgien ordinaire du Roy et Iure a Paris : avec les portraits et figures de toutes les parties du corps humain et des instrumens necessaires au chirurgien . ,fe guérit auec remèdes deiiecatifs, comme aucc ce remède recommandé parAécc. aluminis, fiacmedicamétum, le Collyre que nous ^medeauons deferit pour le Myochephalon eft fingulier. Iay veu expérimenter vn peu****dhuile devitriol&: len toucher, ayant premièrement bien garni lœil. Maisfi cefte M jtexcroifTanceeft grande &t maligne, fans toutefois quelle foie chancreufe, elle fera (oltt,peroftee par la Chirurgie : qui fe fera pafîant par le milieu vn fil, par lequel il fera fouf- lBnch*n-leué,puisaueclerafoiroucifeaufera couppétoutee qui feradicelle,fe donnant de decoupper la ch<urnaturelle,quieftiointeà,nommé en Grec Rbxas, qui feroit caufeque lœil toufiours demeureroitpleurât: $***•lopérationfai&e on mettra quelques remèdes deficcatifs, afin dempefeher que lachair ne vienne à croiftre, paracheuant le refte de la guerifon, comme auons did en lOngle. dd Que cefi 3 44 Des Maladies de lOeil, Liure XI. De ïcvd larmoyant & pletireux , difi en Grec Po<oî, Pua*, ou poiai^O <pJ<tXfMÎ,cn,Latin} Fuxus oculi, Paul lappelle Diminutionem carnis. Chapitre III I. Hou*, encore que prenne pour laccidet qui viencaux vignes, lors que le raifineltant encore cendre vientatum-ber,ce que nous difons Couleuredc vigne. Sied ce que nous leprenons pour vne diminucion ou conlompcion delà chair na-turelle qui effc au grand coing de lœil, auec larmoyement con-tinuel ô£ fafcheux. Ce qui aduient, ou pour auoirmalpenfcvn Ongle, ou vriEucanthu, o\x^4egdop , ayant trop couppé ouconfommé la chair glanduleufe, quicltnaturellcmctfrtuccenceit endroit : qui eit caufe que les larmes ne pouuanc eftre contenues, lœil toute lavie demeure plcureux &: larmoyant,m
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