. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences. Science -- Societies, etc; Science; Science. SEANCE DU 23 NOVEMBRE 1912. Io55 Asccnsiuri (Irnilo. Ocolinaisuil. k Oalcs lie hi (k-ioiiverle. de la dt-sciiption. â Desiriptimi et. rcniar(|ues. 189^ Ocl. 27. â Gr. 13,5. Objet [nébuleux] excess'faible, qu'on a perdu fie vue pemlant les inesiire?. 1898 Oct i(3. â Gr. i3,'). Néb. a. large, 'lo" peul-èlre de diamètre, dont la région centrale paraît parsemée de petits grains stellaires. 1S84 Août 2/i-Sept. 17. â Gr. i3,3-i3,4- Petite nébuleuse de i5" env. de d


. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences. Science -- Societies, etc; Science; Science. SEANCE DU 23 NOVEMBRE 1912. Io55 Asccnsiuri (Irnilo. Ocolinaisuil. k Oalcs lie hi (k-ioiiverle. de la dt-sciiption. â Desiriptimi et. rcniar(|ues. 189^ Ocl. 27. â Gr. 13,5. Objet [nébuleux] excess'faible, qu'on a perdu fie vue pemlant les inesiire?. 1898 Oct i(3. â Gr. i3,'). Néb. a. large, 'lo" peul-èlre de diamètre, dont la région centrale paraît parsemée de petits grains stellaires. 1S84 Août 2/i-Sept. 17. â Gr. i3,3-i3,4- Petite nébuleuse de i5" env. de diamètre, avec région centrale un peu stellaire. 1884 Oct. 23. â Gi'. i3,,'). Paraît être une nébuleuse dans laquelle on entrevoit deux étoiles. .Ã08 (O. 8 i8g8 Dec. 5. â Gr. i3,5. Objet excess' faible, entrevu seulement. ⢠l.'W 1895 Nov. 19. â Gr. i3,;). Oiijel demi-nébuleux, demi-stel- laire, n. é * i3,2 est vers/? ^ io5°, (/r^ 2',5. PHYSIOLOGIE VÃGÃTALE. â Sur la détermination du coefficient respiratoire réel. Note de MM. L. Maquenne et E. Demolssy. Dans une Communication précédente nous avons montré que le quotient respifatoire réel est toujours supérieur au\ rapports apparents que donne la mélhodc de l'air confiné et qu'il est à [iru près impossible de le déduire correclemont de ceux-ci. I^a Miélliode du \ide, employée d'abord par l)eliéi'aiii et JNIaquenne, peiiiiet de le déterminer avec une approximation souvent suffisante, mais son exactitude dépend de conditions vai'iables, notamment de la rapidité avec laquelle les échanges gazeux s'ellectuent entre le sujet et ratmos|)lièi'e. En eflet. dans un espace clos comme celui où l'on enferme les feuilles, le vide a pour limite la tension de la \apeur d'eau (pii le salure et, lors(|iie latiompe n'extrait plus de gaz, le suc cellulaire, si la diflfusion est


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