Œuvres diverses de M L de Chaulieu . ante , batifblle,Et quand il lui pîait, nous confolcDe la mort de Clément Marot ;En vain ofcrois-je prétendreA quelques vers de fa façon ;Nos Nimphes ont paru devant le fier garfon %Le Satire cft au bois, & ne veut rien entendre. Cependant , à force de perfécutîon, j*aî obtenu de TAbbé Pégafe une demie heure de travail j j*ai pris mon tems pour cela quet les Naïades, Driades , Oreades, &: Ama- driades étoient à la chafTe , & voici ce qu*il a produit > je me petiuade que vousne ferezL guère content de ceci, mlis-lAbbé Pégafe, à qui j*avois ordonné de trav
Œuvres diverses de M L de Chaulieu . ante , batifblle,Et quand il lui pîait, nous confolcDe la mort de Clément Marot ;En vain ofcrois-je prétendreA quelques vers de fa façon ;Nos Nimphes ont paru devant le fier garfon %Le Satire cft au bois, & ne veut rien entendre. Cependant , à force de perfécutîon, j*aî obtenu de TAbbé Pégafe une demie heure de travail j j*ai pris mon tems pour cela quet les Naïades, Driades , Oreades, &: Ama- driades étoient à la chafTe , & voici ce qu*il a produit > je me petiuade que vousne ferezL guère content de ceci, mlis-lAbbé Pégafe, à qui j*avois ordonné de travailler fus ^arti-- de de rObfervatoire, quinteux comme vous fçavez quil eft honteux , ou plutôt défefpe* ïé de ne pouvoir rien faire qui aproche d€L GQ: ^g^ OEuvres diverfes que vous m*avez envoie , ma répondu franc Çç net, en parlant de vaus ; Poètifèr contre lui je ne veux ,Mais comme Tun des enfans ou neveux iPe Poëfic aïant vouloir daprendre ,,Tquç mon dçfir, Madame^eft de lentendreg. de M. L. ie ChaulleHm l6% l y SECONDE REPONSEDE M. GENES T. Jr Rere trçs-cher, votre belle miflîveN*aura de moi nuls beaux remercimcns 9Je ny répons que par les fentimensDune tendrefle afFcâueufe & vive,Qiïi pafle de bien loin difcours & compliaicns sSi jécois libre , o mon aimable frère,Je partirois, & plutçt fait que dit ;Vous me verriez , au lieu de mon écrit »Fondre àSaint-Maur dune courfe légè moi, voici ce que je puis:A Seaux un ordre exprès menchaîne ,Une perfonnc , en vertu fouveraine,A qui votre humeur même indocile & hautaineEft foumife, mon frère, autant que je le fuis >Une Héroïne, enfin, fur toutes refpeâé par une bonté dont je me fens flattée ,Dans un quadre nouveau voir mes traits exprimez;Ces traitSjje le fçai bien,nont point dautre mérite*.Sinon quelle les a formez ; 26^ OEuvres dherjes Mais puîfquun tendre amour pour moî la foliclte;Ils deviendront par là plus dignes décre aimez :Çecîe grande
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