Traité d'hygiène . sements (il y avait 277 chutes en 1887) et notamment à lacaserne de la Pépinière; mais il ne fut pas maintenu. Il rencontraun adversaire résolu dans lapôtre du tout à Iégout en France, (1) Voy. ces rapports dans les C. H. des travaux du Comité consultatif dhygiènepublique. Voy. également larticle de M. Thoinot dans les Annales dhygiènepublique et de médecine légale, janv. 1899. Traitf uhygiknl:. XV. — 23 :.V, Eh. [MBKAUX. — EVACUATION DES IMMONDICES LIQUIDES. A. Durand-Claye, qui lui reprochait notamment la complication desappareils de maison (1), la conservation dc< mati


Traité d'hygiène . sements (il y avait 277 chutes en 1887) et notamment à lacaserne de la Pépinière; mais il ne fut pas maintenu. Il rencontraun adversaire résolu dans lapôtre du tout à Iégout en France, (1) Voy. ces rapports dans les C. H. des travaux du Comité consultatif dhygiènepublique. Voy. également larticle de M. Thoinot dans les Annales dhygiènepublique et de médecine légale, janv. 1899. Traitf uhygiknl:. XV. — 23 :.V, Eh. [MBKAUX. — EVACUATION DES IMMONDICES LIQUIDES. A. Durand-Claye, qui lui reprochait notamment la complication desappareils de maison (1), la conservation dc< matières dans le récep-teur tant quil nest pas plein, la difficulté davoir des obturationshydrauliques, daérer les tuyaux de clmle, etc. Les critiques deDurand-Claye paraissaient exagérées, et le système, amélioré et sim-plifié, peut certainement donner dexcellents résultais : cest ce quilait à Levallois-Perret, entre les mains de la Compagnie de salubritéqui la transformé. RECEPTEUR r^^k. Fiff. 166. Système Berlier. Appareils de maison. A, appareil évacuateur; G, clapet en caoutchouc; D. communication avec lap-pareil récepteur; E, communication avec la canalisation ; F, flotteur métallique;H, regard permettant linspection dans lintérieur du récepteur; J, malaxeur àbranches chantournées; PP, garnitures étanches ; K, grille demi-circulaire ; L, com-munication avec lévacuateur ; M, axe de la manivelle ; G, chutes. Lappareil de maison de Levallois-Perret est déjà plus simple,moins volumineux et moins coûteux que celui de Berlier. Cest unecaisse oblongue deOm,80 sur 0n,40 en plan et 0m,80 de hauteur, entôle galvanisée, dans laquelle débouchent les tuyaux de chute dela maison (fig. 167). Lévacuation est double : elle se fait à mi-hauteurpar un tube A quobture un clapet de caoutchouc B relié par un flot-teur F, et dont louverture est entravée dun grillage en fil de laiton G ;le tube est lui-même mobile et porte à sa base un boulet en


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