L'illustration : journal universel . ra une charmante biche, la poursuivit et la blessadabord, près mille aventures, reconnut en elle la prin-cesse Désirée quil croyait perdue, et a qui les bonnes fées(t) Varia Chronique (Je Montinnjour, par M. A. Pictiot. LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. g S rendirent enfin sa forme première. Vous jugez quelles noces I une admirable féerie. Toul y brille , tout y éblouit, tout y on fit pour le mariage du prince et de sa chère princesse, et étonne ; on y va détonnement en elonnement et de prodiges combien ils furent heureux et eurent de nombreux enfant


L'illustration : journal universel . ra une charmante biche, la poursuivit et la blessadabord, près mille aventures, reconnut en elle la prin-cesse Désirée quil croyait perdue, et a qui les bonnes fées(t) Varia Chronique (Je Montinnjour, par M. A. Pictiot. LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. g S rendirent enfin sa forme première. Vous jugez quelles noces I une admirable féerie. Toul y brille , tout y éblouit, tout y on fit pour le mariage du prince et de sa chère princesse, et étonne ; on y va détonnement en elonnement et de prodiges combien ils furent heureux et eurent de nombreux enfants, en prodiges. Les palais, les forêts, les montagnes , l«s fon- Avec ce conte le théâtre de la Porte Saint-Martin il fait | laines, les fleuves, lair, le ciel, lenfer, tout s en môle, sans compter que le théâtre de la Porte-Saint-Martin, dans saprodigalité de magiciens, a imaginé des pays mirobolantsdont le conte primitif ne parle point et quil na pas mêmelair de soupçonner; et, par exemple, lu royaume des lé-. ( Premiei acte. La forêt des sycomores. — Pélican , M. Tourna— Girotlée, madame P. Amant.) •Mesrour, M. Mulin. ( Deuxième acte. Le royaume des poissons. Siumon Ier, M. Moëssird. — Brocliel , M \ i— Homard , M. Muné. — Le priuce Souci, M. Gabriel.— Pélican, E. Touruan. ) sûmes, où les melons sont rois et où les carottes, les cham-gignons, les asperges, etc., dansent des polkas extraordi-naires ; et avec le égumes. lempire des pois-nons, dont lempereur Saumon I est le souverain tout-puis- sant. Il faut voir la cour de cet étonnant monarque, et dequels brochets, et de quelles carpes il est entouré. Ces deux tableaux sont dune grande originalité, et donne-raient à eux seuls un succès prodigieux à la pièce. Je vous laisse à penser ce que sera ce succès avec tonte? les mer-veilles de décors , de costumes, et les spectacles de toutessortes que MM. Cogniard nous donnent par-dessus le mar-ché avec un luxe sans


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