. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. tes nétaient pas en rapportiniiiiédiat avec un ruisseau deau courante ; dans les forêts claires, les petits bois peul(Uillus où la sécheresse conunence à se faire sentir, nous ne lavons jamais observée. La zonr dhabilat de la fusca. qui ^e cantonne dans les buissons, les bouquetsdarbie, aux endroils humides, mais assez loin des cours deau, ne convient pas à lapalpalis. De même, nous navons pas rencontré cette dernière dans la forêt maréca-geuse, dans les parties du cours de certaines rivières telles que rA


. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. tes nétaient pas en rapportiniiiiédiat avec un ruisseau deau courante ; dans les forêts claires, les petits bois peul(Uillus où la sécheresse conunence à se faire sentir, nous ne lavons jamais observée. La zonr dhabilat de la fusca. qui ^e cantonne dans les buissons, les bouquetsdarbie, aux endroils humides, mais assez loin des cours deau, ne convient pas à lapalpalis. De même, nous navons pas rencontré cette dernière dans la forêt maréca-geuse, dans les parties du cours de certaines rivières telles que rAlima,dontles bergessont incertaines, où la végétation est touj(jurs inondée à sa base. Klle reparaissait aucontraire aux endi-oits où le sol saOermit, où les rives sont mieux définies. Ces observa-tions sont conformes à celles de Ilodges (1909), qui décrit les zones h palpalis commecaractérisées par des ombrages épais, à proximité des cours deau dont les berges sontbien accusées. UECHERCHES SUR l\ BIOLdCIi; ET LES VDAITATIONS DE LA (ILOSSINA lALPALlS 380. Fii;. TJ. — (iilo A (i/. iKilpiili^ : (iinililioiis île \ é^élalimi. Sur le littoral du Galion, à Lilireville et au Cap Lopez, nous navons pas rencontréla nioache dans la .Mangrove, même dans une région où le gibier abonde, et où parsuite les niourbe> puuLiaient ètie attirées en nombre considérable. Il semble donc (|ue IVM) LA Dl SOMMKII. Al CONGO FRAM;A1S suivant ceitaines circonstances, ])njbabien)enl dordre géographique et climatériquo,les conditions dhabitat de la palpalis, puissent varier. Jamais, en particulier, il nenous a été donné de constater la présence de la mouche dans des zones herbeusesplus (ju moins inondées, entièrement déboisées, telles que celles que le I) Bouet nousa pers(jnnellement signalées, avec documents photographiques à lappui. Dans lesmarais à papyrus de lestuaire du Congo, enti-e Borna et la pointe de Banane, la pal-palis nexist


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