Bulletin de l'Institut français d'archéologie orientale . ps dans sa longueur en pratiquant une entaille sur la peau (lQuand la peau était fendue,on arrachait le cœur quondéposait précieusement dansun vase. Cet acte était sansdouté aux yeux des Egyptiensde la plus haute importance;toujours est-il que la légende^ --^ *. ^^ ^ *\1^-^i_f*, revient une dizaine de fois. Immédiatement après on soccupait des autres viscères. Les porteurs viennent les réclamer : j»— 2 ^ î ]?]? ^— | ^_» rr donne le foie et la rate 11, rr donne la chair du devant^):. Cest simultanément quon enlevait les côtes et les entr


Bulletin de l'Institut français d'archéologie orientale . ps dans sa longueur en pratiquant une entaille sur la peau (lQuand la peau était fendue,on arrachait le cœur quondéposait précieusement dansun vase. Cet acte était sansdouté aux yeux des Egyptiensde la plus haute importance;toujours est-il que la légende^ --^ *. ^^ ^ *\1^-^i_f*, revient une dizaine de fois. Immédiatement après on soccupait des autres viscères. Les porteurs viennent les réclamer : j»— 2 ^ î ]?]? ^— | ^_» rr donne le foie et la rate 11, rr donne la chair du devant^):. Cest simultanément quon enlevait les côtes et les entrailles. Je reproduis ici une scène déjà célèbre du tom-beau dAnkh-ma-hor(rig. 9). Pendant quun porteur saisit un quartier de côtes, et quun homme se met en devoir de couper la cuisse, son camarade accroupi enlève les entrailles; il semble y ])rcndre plaisir et mesure la longueur des boyaux comme il ferait de celle dun cordage. Au tombeau voisin ^\ les entrailles ont disparu, un aide emporte les côtes pendant quon coupe la. Fi. 10. — Spclion de la cuisse*. M. A. MuRBAY. Saqqara mastabas, ))1. XI:Lepsius, Deukiii., Il, G(). Pour désigtier ccUei)|itr;dion ol rillis qui vont suivre, les Kgypliiiis(iiiploicul non plus 1, nu)l selcp, m;iisli> mol ^—;(jui sijyiiific iTiIicouppr. cl(p;iror-. sans aucuneidt?e accessoire. •- J. Capart, op. pi. LIV. Mariette, Mast., p. 37/1, 077, snr ces ninls \ . Loret. Pré/iire à lu Faunemomifiée, p. y. <• M. A. Mirrav. op. r//., pi. XXlil. J. Caiart, op. cit., pi. Cl. 59 ).«—dernière cuisse. Chez Scklicm-kaf. chez Plah-holep- el chez le vieux (Pî^^ Jll^- ^^ travaille en même lemps aux côtes cl aux jamhes de derrière. Il est curieux de savoir comment on coupait la jambe de derriè boucher pratiquait la section à la jointure du tibia et du fémur. La preuveen est laite par un bas-relief du tombeau dOusir-noutir (fig. lo). La tête dufémur apparaît, le boucher Técarle de sa


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