. La librairie, l'édition musicale, la presse, la reliure, l'affiche à l'exposition universelle de 1900. Recueil précédé d'une notice historique par Lucien Layus. au nouvel cmpert-ui , ^m prétcnrf quillumc li. Annct 17g* li-k niEMIERE PAGEDU «JOURNAL DE LA COUR ET DE LA VILLE B 44 JOURNAUX douze livres, malgré ragraiidissement du format ot laugmontationde la périodicité. La moyenne des abonnements des publicationshebdomadaires, à la fin du dix-luiitième siècle, est de dix-huit àvingt livres pour Paris ot do vingt-quatre à trente-deux livres pourla [irovince. Le Journal de Paris, quoique quotid
. La librairie, l'édition musicale, la presse, la reliure, l'affiche à l'exposition universelle de 1900. Recueil précédé d'une notice historique par Lucien Layus. au nouvel cmpert-ui , ^m prétcnrf quillumc li. Annct 17g* li-k niEMIERE PAGEDU «JOURNAL DE LA COUR ET DE LA VILLE B 44 JOURNAUX douze livres, malgré ragraiidissement du format ot laugmontationde la périodicité. La moyenne des abonnements des publicationshebdomadaires, à la fin du dix-luiitième siècle, est de dix-huit àvingt livres pour Paris ot do vingt-quatre à trente-deux livres pourla [irovince. Le Journal de Paris, quoique quotidien, ne coûte quevingt-quatre livres par an, pour Paris et trente livres, quatre sous,pour la province. Au début du dix-neuvième siècle, les abonnementsaux journaux quotidiens restent .f^.^ fixés en moyenne au prix de quatre - vingtsfrancs, jusquen 183G,époque ofi la Prrsse etle Siicle inaugurent lesabonnements à quarantefrancs. Cest en 1836, aumoment de cette trans-formation, que se placela première ajiparitiondans les journaux duroman-feuilleton. Jusquà cette époqueles journaux politiquesdonnaient peu dexten-sion à la publicité com-. LE CENSEURVignette tie Graiidvillc. — Chansons de Béranger { 1S05). merciale et financière. Ce nest quen 1828 que le rendement de lapublicité devient appréciable, et, sous la monaichie de Juillet, laGazette de France et le Journal des Débats, qui tirent de la publicitéde leur quatrième page de sept cent cinquante francs à mille francspar jour, sassurent de ce fait un revenu de deux cent à deuxcent cinquante mille francs par an. En 1844, Emile de Girardinnhésite pas à augmenter le format de la Presse, pour réserver plusde place aux annonces commerciales. Depuis cette époque la publi-cité des journaux prend une extension considérable, affectant les JOURNAUX 45 formes les plus variées et les plus séduisantes pour al tirer Fatten-tion du lecteur, et utilisant dans ce Lut des illustrations souventdues à d
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