. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 800 I, ANDHOCKK. Nombre et origine des étamines. — TiJ-s variable dans la vSt'Tic (les Pbanrro^ames, le noiiihn' dos élamines ost le plus souvent conipiis cuire 1 ((.)rcliidées, U'^. 927, y ; Casuariné(;s) ellO (Caryo[)liyllées, lig'. 805, iv), el, dans ces liiiiiles, il oflre fréqueninienl une assez grande fixité poui- pouvoir caractériser des genres et même des familles entières. Cbez les Monoc
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 800 I, ANDHOCKK. Nombre et origine des étamines. — TiJ-s variable dans la vSt'Tic (les Pbanrro^ames, le noiiihn' dos élamines ost le plus souvent conipiis cuire 1 ((.)rcliidées, U'^. 927, y ; Casuariné(;s) ellO (Caryo[)liyllées, lig'. 805, iv), el, dans ces liiiiiles, il oflre fréqueninienl une assez grande fixité poui- pouvoir caractériser des genres et même des familles entières. Cbez les Monocotylédones, oii les verticilles lloraux sont typiquenuml trimères, les nond)res les plus fréquenmienl réalisés sont : 3 étamines (Iridées, Graminées, fig". ;)), ou 6, en deux verticilles trimères alternes (Liliacées, lig. 880). Par exception, les Orcliidées, à cause de l'avortement de cincj étamines, n'en oifrent ({u'une, sauf un petit nombre de genres (Gypripède : 2 éta- mines fertiles). Même, dans certaines Scitaminées (Bali- sier), l'étamine unique n'est plus fertile ([ue d'un côté (fig. 946), c'est-à-dire ne contient plus que deux sacs polliniques, l'autre moitié du limbe étant pétalisée. Gliez les Dicotylédones, oii la Heur est construite d'ordi- naire sur le type cinq, les nombres d'étamines les plus fré- quents sont : 5 étamines (Solanées, fig. 967 ; Gomposées, fig. 933) ; ou 10, en deux verticilles alternes (Garyopbyllées, Papilionacées, fig. 939) ; 4 étamines, nombre tantôt normal (diverses Rubiacées : Gaillet» fig. 947 ; Aspérule), tantôt réa- lisé par avortement d'une étamine (Labiées, fig. 932, c) ; 6 étamines (Grucifères, fig. 878). Un grand nombre d'étamines, en un mot la poli/andrif, caractérise les Renonculacées (Renoncule, Anémone, lig. 924), les Papavéracées (Go(juelicot, fig. 599), etc. Gbez de sem- blables plantes, une seule fleur peut renfermer une centaine d'étamines et p
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