. L'ami des enfants . l donnerait la moitié de sa fortune pour avoirun enfant comme Frédéric. DouMTHEE. â Ah çà , LéoHor, ne va pas au moins contrarier ton frèredans ses desseins. LÃONOR. â Mais, ma chère amie, ma position est fort délicate : je tiensici la place de maman, et je ne puis rien permettre quelle neût elle-mêmeapprouvé. ADÃLAÃDE. â Laisse-le faire. Nous prenons tout sur nous. JULIE. â Oui, ma sÅur, (juerre, guerre aux méchants ! SCÃNE XI FRÃDÃRIC, LÃONOR, JULIE, DOROTHÃE, ADÃLAÃDE, DUVERNEY laîné FRÃDÃRIC, accourant joyeuK.â Voilà mes batteries toutes dressées. Il pe
. L'ami des enfants . l donnerait la moitié de sa fortune pour avoirun enfant comme Frédéric. DouMTHEE. â Ah çà , LéoHor, ne va pas au moins contrarier ton frèredans ses desseins. LÃONOR. â Mais, ma chère amie, ma position est fort délicate : je tiensici la place de maman, et je ne puis rien permettre quelle neût elle-mêmeapprouvé. ADÃLAÃDE. â Laisse-le faire. Nous prenons tout sur nous. JULIE. â Oui, ma sÅur, (juerre, guerre aux méchants ! SCÃNE XI FRÃDÃRIC, LÃONOR, JULIE, DOROTHÃE, ADÃLAÃDE, DUVERNEY laîné FRÃDÃRIC, accourant joyeuK.â Voilà mes batteries toutes dressées. Il peutvenir à présent. Nous le rece-vrons. LÃONOR. â Mais enfin,peut-on apprendre?... DOROTHÃE. Oui, Oui, nous voulons être du com-plot, et nous vous aideronsde toutes nos forces. FRÃDÃRIC. â Il nest pasnécessaire, Mesdemoiselles. Il est brutal, et je ne veux pas vous viens darranger toutes choses avec le palefrenier. Il ma compris à demi-mot, et il me secondera à 42 COLIN-MAILLARD LÃONOR. âAu moins taut-il que nous FRÃDÃiuc. â Voici tout ce que vous devez savoir. Nous allons jouer à colin-maillard, pour quil nous trouve bien en train lorsquil ès quelques tours, je me Ferai prendre. Vous me laisserez voir un peuà travers le mouchoir, afin que je puisse le prendre à mon tour. Ouand jelui banderai les yeux, vous vous retirerez tout doucement dans le cabinetde mon papa, en emportant les lumières, et vous me laisserez seul aveclui. Je vous appellerai lorsquil en sera temps. DUVERNEY lainé. â Mais sil va te rosser dans votre tête-à -tèle? FRÃDEKic. â Bon ! tu as vu comme je lai terrassé. Je ne le crains viens de voir encore tout à lheure combien il est poltron. Mais, avanttout, il faut faire descendre les petits, car il pourrait monter là -haut toutde suite et leur faire quelque frayeur. Julie, va les chercher et amène-lesici. JULI
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