Traité d'anatomie humaine . es allant de lun à lautre,mais parce que le prolongement cylindraxile de lunentre en contact, par ses fibrilles terminales, avec lesprolongements protoplasmiques de lautre. Cest auniveau de ce contact, ou mieux de cette articulation (lemot est employé aujourdhui par bon nombre dhisto-logistes), que lébranlement nerveux passe dun neu-rone à lautre, tantôt sans se modifier, tantôt enchangeant de nature : cest à ce niveau notamment quese i^roduit la transformation dune impression périphé-rique en incitation motrice, transformation qui cons-titue le mouvement réflexe. P
Traité d'anatomie humaine . es allant de lun à lautre,mais parce que le prolongement cylindraxile de lunentre en contact, par ses fibrilles terminales, avec lesprolongements protoplasmiques de lautre. Cest auniveau de ce contact, ou mieux de cette articulation (lemot est employé aujourdhui par bon nombre dhisto-logistes), que lébranlement nerveux passe dun neu-rone à lautre, tantôt sans se modifier, tantôt enchangeant de nature : cest à ce niveau notamment quese i^roduit la transformation dune impression périphé-rique en incitation motrice, transformation qui cons-titue le mouvement réflexe. Prenons deux exemples, tous les deux fort simples :le mouvement volontaire et le mouvement réflexe. —Pour expliquer le mouvement volontaire, on disaitautrefois : une incitation motrice, partie dune cellulede lécorce cérébrale, passe dans le prolongementcylindraxile de cette cellule, lequel descend dans la moelle et, après un certainparcours, vient sanastomoser avec une cellule des cornes antérieures ; cette. Fig. des neurones. A, premier neurone. — B ,deuxième neurone. — C, neuronefnlercalaire. ANAÏOMIE GENERALE 391
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