. Dans le Haute-Gambie; voyage d'exploration scientifique, 1891-1892. Gambia; Geology; Botany. DANS LA UAUTE-GAMBIK 4()t in siipéririin>, ce qui (ioiine h l'uuiinal la physiouoinie féroce ilu bouledti^Mic. MaijicVst au (luul qui'siège ce (|ul' la bête présente au point (le vue aiiatitiuiqui' de plus curieux. Les cornes sont noires, brillantes, courtes, larj;es et fortes, à légère convexité externe. frontal dont elles font partie absolument intégrante, est excessivement large et épais. Tandis ({ue chez le bÅuf ordinaire, il est n'Couverl de peau et de poils, chez le bo'uf sauva


. Dans le Haute-Gambie; voyage d'exploration scientifique, 1891-1892. Gambia; Geology; Botany. DANS LA UAUTE-GAMBIK 4()t in siipéririin>, ce qui (ioiine h l'uuiinal la physiouoinie féroce ilu bouledti^Mic. MaijicVst au (luul qui'siège ce (|ul' la bête présente au point (le vue aiiatitiuiqui' de plus curieux. Les cornes sont noires, brillantes, courtes, larj;es et fortes, à légère convexité externe. frontal dont elles font partie absolument intégrante, est excessivement large et épais. Tandis ({ue chez le bÅuf ordinaire, il est n'Couverl de peau et de poils, chez le bo'uf sauvage, il est cornplétenieni à nu et très noir. Il est d un noir terne, taudis que les cornes sont d lui noir très brillant. Les Muliukés appellent cet animal n Sfijui ». Sa chair est (bdicieuse et les indigènes eu sont excessiveuu'ut friands. Il ue se nourrit, pour ainsi dire, (|ue d'herbes tendres et de jeunes pousses d'arbres. liumuie il evi 1res sauvage, sa chasse présente les plus grands danger>; car, l()rs(|u'il est alleiiil, il charge immédiatement le chas- seur. Il faut, pour l'avoir, le blesser grièvement du premier coup. Aussi les noirs le tirent-ils presque toujours, soit dans les pattes, soit au défaut des épaules. Il court très vite et peut rattraper aisé- ment un cheval lancé à fond de train. balle de notre chasseur lui avait fracasse l'articulation de la cuisse droite. Il avait été déjà blessé et portait au tliinc droit la cicatrice dune balle antérieurement revue. Dès que l'animal fut mort, tout le moude !>'appiocha pour le toucher, le palper. Je lis comme les autres et avec grande curiosité, car c'était le premier (jue je pouvais voir d'aussi près. Notre chasseur lui t-oupa aussitt'kl le bout de la tjueue sur une longueur d'environ l.'i centimètres. C'est là , nous l'avons déjà dit, un trophée auquel, chez tous les peuples du Soudan, les chasseurs tie


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