Les élégies de Jean Doublet Dieppois . ahors. (ij Yauquelin de laFresnaie. — Les vers cités se trouvent à la p. 66des Diverfes Poëfies du Sr de la Frefnaye Yauquelin. Caên, Macé,i6o5, in-8°. 12) Pierre le Jumel, Sr de Lisores. homme fort lettré, fut reçu présidentau Parlement de Rouen en 15 71. Il était dune famille considérablede lÉlection de Pont-IÉvesque. (3) Ces vers ne prouvent autre chose quune vive admiration pour lesPseaumes de Clément Marot, alors dans leur nouveauté, Doublet adailleurs fait lui-même sa profession de foi : Car dévot fuis : et la dîme, fans faute,De tous mes fruits n


Les élégies de Jean Doublet Dieppois . ahors. (ij Yauquelin de laFresnaie. — Les vers cités se trouvent à la p. 66des Diverfes Poëfies du Sr de la Frefnaye Yauquelin. Caên, Macé,i6o5, in-8°. 12) Pierre le Jumel, Sr de Lisores. homme fort lettré, fut reçu présidentau Parlement de Rouen en 15 71. Il était dune famille considérablede lÉlection de Pont-IÉvesque. (3) Ces vers ne prouvent autre chose quune vive admiration pour lesPseaumes de Clément Marot, alors dans leur nouveauté, Doublet adailleurs fait lui-même sa profession de foi : Car dévot fuis : et la dîme, fans faute,De tous mes fruits nojire curé reçoit :Et neft fefie baffe ni haute,Dont le iour chommé ne me déclaration aussi formelle exclut tout soupçon dhétérodoxie. 12 NOTICE SUR J. DOUBLET. Car à quoi bon tant louer le bon Marot, fur cet article defes Pfeaumes huguenots, fil nétoit de fon parti même, ouen quelque forte fauteur de lhéréfie? Guillaume COLLETET. ÉLÉGIES DE JEAN DOUBLET. ELEGIES DE IAN DOYBLET D I E P P O Y AVEC PRIVILEGE. A PARIS, Pour Charles Langelier. Libraire IurédePYniueriitéde Paris,,tenant fa boutique au Perron de la Salle des Merciers,,ioignant la porte de la grand falle du Palais. 1 5 5 9 • 2 AV LECTEVR. E ne fai doute, Lefîeur débonnaire, queplufieurs graues & vertueus perfonnages,& bien doctes, ne trouuent mauuais en laplus part de mes rimes ce fit g et dAmour,lequel aiant empefché pieca toutes les prejjes de Fran-ce,/eft fait appeler par quelcun ajjés ironiquement Fran-coife filofofie, &t aucunement fuis-ie bien de leur il te plaira confiderer que laueuglée ardeur de ieu-neffe, aiant pris, malgré toutes mes raifons, le frein ausdens, memporta par force en ce champ de fon plaijir :Dans lequel errant en dépit de moy, ne fauoi, pour vnpeu me de/ennuyer, autre choje faire que rédiger aucu-ne fois par écrit quelques miennes fantafes, en termes &propos conuenans tant à mon âge qua ma fortune. Cequi nia, peut-eftre


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