. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. ur imprimer une se-cousse à leur flagelle et se détacher. Laspectde ces parasites est absolument différent de celui des Irypanosomes du sang, et leur fixation très curieuse, leur d(jnni un peulapparence dune colonie rétractée de Vorticellidesà courts pédoncules. Lecbangementde forme est dailleurs tel. quon est beaucoup plus tenté dy voir des i)arasites acciden-tels, dun type assez dilférent, que des Irypanosomes. Lorsque certains dentre eux sontlibérés de leur point dattache, soit artificiellement, soit à
. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. ur imprimer une se-cousse à leur flagelle et se détacher. Laspectde ces parasites est absolument différent de celui des Irypanosomes du sang, et leur fixation très curieuse, leur d(jnni un peulapparence dune colonie rétractée de Vorticellidesà courts pédoncules. Lecbangementde forme est dailleurs tel. quon est beaucoup plus tenté dy voir des i)arasites acciden-tels, dun type assez dilférent, que des Irypanosomes. Lorsque certains dentre eux sontlibérés de leur point dattache, soit artificiellement, soit à la suite de leurs propres mou-vements, ils se déplacent dans le liquide ambiant (salive ou eau physiologique), le fla-gelle en avant. Dans ce mouvement, la région postérieure reste inerte et rigide, tandisque la partie antérieure, avec le flagelle, est animée doscillations rapides. On remar-(jue aussi, au cours du déplacement, une rotation lente des parasites sur eux-mêmes,très nette en raison de laplatissement généraldu corps. Les parasites détachés et circu. — i;ou|ic |[MiisviT>;di iliiiicliii]]i|ie de (ilossinp iiilViiic. L:i ronpoiiionlre hi dis|insili()ii ol raspocl des||;u?;l^iles li\(S aux parois du t.,-dire (1.)!?! (le riiypopliiUVMX (llvp.). Doiiii-srliiiihiliiliic ; la idiipc lie la Ironipeesl ligiilée Sti:pmens el New-STEAD X OU liiviroii. L. labie: H\ p liypoptiarynx ;M. M ; L. inl., lèvre inréfieurp 548 LA MALADIE DU SOMMEIL AU CONGO FRANÇAIS lant librement, même en dehors de la trompe et du liquide salivaire, nont pas perduleur faculté de fixation, qui est une propriété particulière de leur flagelle. Ils ne tar-dent pas, en effet, à reprendre leur position primitive, encollant lextrémité libre de cetorgane à un corps quelconque, souvent directement au verre de la lame ou de lalamelle où on les observe: et leur fixation est telle, quon peut faire passer sur la pré-paration un léger courant deau phys
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