. Bulletin de la Société botanique de Genève . téressant, cest dobserver la répar-tition de la cutine; en effet, la couche nest pas partout égalementépaissie ; bien marc{uée sur les périclines des cellules épidermiqueset des cellules annexes, constituant même en quelques endroits, parsuite dépaississement, des perles, cette couche samincit brusquementquand elle arrive à peu près vers la moitié de la péricline exteine descellules de bordure ; cet amincissement constituera une sorte dedénivélation tout autour de lostiole et cette dernière se trouvera ainsiau fond dun léger puits. CA)) L. riETIFO
. Bulletin de la Société botanique de Genève . téressant, cest dobserver la répar-tition de la cutine; en effet, la couche nest pas partout égalementépaissie ; bien marc{uée sur les périclines des cellules épidermiqueset des cellules annexes, constituant même en quelques endroits, parsuite dépaississement, des perles, cette couche samincit brusquementquand elle arrive à peu près vers la moitié de la péricline exteine descellules de bordure ; cet amincissement constituera une sorte dedénivélation tout autour de lostiole et cette dernière se trouvera ainsiau fond dun léger puits. CA)) L. riETIFOUS. ETUDE SUR LES STOMATES ao;: PLATANACÉES PLATAINUS ORIEiNTALlS L. Son sLoiiiale présente de grandes analogies avec celui du (Jncrcvsprihnicitlala ; en effet, nous retrouvons le même type de cellules annexes ;elles sont longues, à parois minces, avec une charnière extérieurebien marquée (fig. 56); la seule différence, cest laccentuation desproliférations qui sont ici bien marquées, tandis quelles étaient à peine. Fig. 56. — Platanus orientalis. Section trans-versale équatoriale. visibles chez ; les cellules de bordure présentent les mêmescaractères que chez Quercns pcdunculalii ; en somme, un seul caractèieest vraiment nouveau, il ne réside pas tant dans la structure du stomatelui-même que dans la couche de cutine qui, par la présence de nom-breuses perles, tantôt arrondies (au-dessus des cellules annexes clépidermiques), tantôt acérées (an-dessus des cellules de ésente un aspect assez particulier. LINACÉES LiNtiM (;.\TnAi;Ti( L. Les stoniales du Liinnii ai/h/niicinii, piaule très conimiine dans n()>prairies sèches, se trouvent sur les deux lacesde la fevulle; ils sont légèrement surélevés,petits, du type clris (fig. 57), mais ne piésen-tent aucun caractère saillant, à pari le fortépaississement des périclines exteiiies et inter-nes des cellules annexes et épidermiques. Lescellules aimexe
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