. Les simulachres & historiees faces de la mort, autant elegamme[n]t pourtraictes, que artificiellement imaginées. s homes cramrifz eurent cure de fain<ft Eltienne lapidé loan.*©*des Iuirz,& feirent y ng grand plaind fus luy ? a tf,s. MEMORABLES AVTHOV ritez,& fentences des Phil ofophes^orateurs Payes pour cofermerles uïuans a no craindrelàlYLbrt;.. I^R Riftote diAVers le fleuue appelle Hypanin,qul ide Ja prie d:Europe derriue en la mer,cerrainesjbèmoles naiftre,qui ne viuent quung iour tâ celle qui meurt fur les huid heu*!res de matin^eft donc diâiè morte de bon eage:dC cell


. Les simulachres & historiees faces de la mort, autant elegamme[n]t pourtraictes, que artificiellement imaginées. s homes cramrifz eurent cure de fain<ft Eltienne lapidé loan.*©*des Iuirz,& feirent y ng grand plaind fus luy ? a tf,s. MEMORABLES AVTHOV ritez,& fentences des Phil ofophes^orateurs Payes pour cofermerles uïuans a no craindrelàlYLbrt;.. I^R Riftote diAVers le fleuue appelle Hypanin,qul ide Ja prie d:Europe derriue en la mer,cerrainesjbèmoles naiftre,qui ne viuent quung iour tâ celle qui meurt fur les huid heu*!res de matin^eft donc diâiè morte de bon eage:dC celle,qui meurt a Midy eft morte en vieillefle. Làultre,quideuant fàMort veoit le Soleil couchér,eft decrepitee* Maistout cela comparaige a noftre rreslong eage,auec léternité, ,nous feronstrouuez quafî en celle mefme breuicé de temps,en lacjlle viuent ces beftiollës«Et ppurtât quâd nous voyonsmourir quelque ieune peifàhne^ii faiilt pêfèr quil meurt demarin JPuis quand vng de quarante0ou cinquâte ansimeurr, ,penfbhs que ceft a midy «Et que tantoft viêdrà levefpre quil I L 0) -,. AVTHORITEZnous fauldra a la fin aller coucher pour dormir, comme lesauItres:cVquequâd lheure fera venue de ce foir que peu ouriens aurons d auantaige,deftre demeurez après cclluy,quilen eft aile a huicl: hcures,ou a Midy,puifque a la fin du jouril nousfault auffi la palier. Parpuoy difoitCicero,&difoitbien. Tu as le fommeil pourimaigede la Mort, & tous lesiours ru ren il doubtes,f 1 y a nul fentiment a laMort,combien que ru voyes quen Ion iimulachre il ny ànul fcntimêt. Et d\ct après que Alcidamus vng Rhéteur an*tique efcripuit les louanges de la Mort,en lefquelles eftoientcôtenuz les nombres des maulx des humains,& ce pour leurfaire délirer la Mort. Car li le dernier jour namaine cxrin*ciion, mais commutation de lieu,Queftilplusadeh*rcrrEtfil dtainâ Se etface tout,Queft il rien meilleur,que déferadormir au millicu des labeurs de cefte vic,& ainli le repoferen


Size: 1476px × 1692px
Photo credit: © Reading Room 2020 / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1500, bookdecade1530, bookidlessimulachr, bookyear1538