. Apres La Pluie Le Beau Temps . RMÈRE. Si votre pensée est bonne, ma cousine, pourquoine voulez-vous pas men faire profiter? MADEMOISELLE PRIMEROSE. Parce vous-même, vous navez peut-être pas Non, décidément, jaime mieux me Cest plus sûr. M. DORMÈRE. Comment, plus sûr? Cest donc bien désagréablepour moi, que vous nosez pas me le dire. MADEMOISELLE PRIMEROSE. Oh! je nose pas,... cest une manière de je le voulais, je vous le dirais bien. Mais il y acertaines personnes , ; décidément je me tais,... et pour ne pasparler, je me sauve


. Apres La Pluie Le Beau Temps . RMÈRE. Si votre pensée est bonne, ma cousine, pourquoine voulez-vous pas men faire profiter? MADEMOISELLE PRIMEROSE. Parce vous-même, vous navez peut-être pas Non, décidément, jaime mieux me Cest plus sûr. M. DORMÈRE. Comment, plus sûr? Cest donc bien désagréablepour moi, que vous nosez pas me le dire. MADEMOISELLE PRIMEROSE. Oh! je nose pas,... cest une manière de je le voulais, je vous le dirais bien. Mais il y acertaines personnes , ; décidément je me tais,... et pour ne pasparler, je me sauve. » Mlle Primerose fit une lourde pirouette et rentradans sa chambre. « Cet homme na pas plus de cœur quun tigre,pensa-t-elle ; il chasse son fils avec une insouciance, 56 APRÈS LA PLUIE LE BEAU TEMPS une gaieté. Cest incroyable ! Cest ce que je voulaislui et ce que jai eu raison de garder pourmoi. » Peu de temps après, les enfants rentrèrent;M. Dormère demanda sa voiture et ils firent H ;• ^•^V^rS


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