. Annales des sciences naturelles. Cap (A. 10 754; fig. 44 et51 C), en outre des exostoses orbitaires existant de cbaque côtéet de diverses exostoses plus ou moins diffuses, il en existeune qui souligne de la même manière larcade zygomatiquegauche, à laquelle elle se réunit par sa partie médiane (fig. 44);à droite, le jugal présente simplement un accroissementdiffus par exostose. Sur ce même sujet, les cornes principaleselles-mêmes portent des néoformations dun volume assezconsidérable (fig. 44 et 51 C), à tel point que lon pourraitpresque dire que les cornes principales portent ici des cornes


. Annales des sciences naturelles. Cap (A. 10 754; fig. 44 et51 C), en outre des exostoses orbitaires existant de cbaque côtéet de diverses exostoses plus ou moins diffuses, il en existeune qui souligne de la même manière larcade zygomatiquegauche, à laquelle elle se réunit par sa partie médiane (fig. 44);à droite, le jugal présente simplement un accroissementdiffus par exostose. Sur ce même sujet, les cornes principaleselles-mêmes portent des néoformations dun volume assezconsidérable (fig. 44 et 51 C), à tel point que lon pourraitpresque dire que les cornes principales portent ici des cornessecondaires, ce qui reviendrait à dire quelles tendent à seramifier ; cest là une simple exagération de phénomènes quenous voyons être très communs. Ouant aux exostoses occipitales auxquelles se réduit lesubstratum osseux des « cornes dartimon », nous pouvonsdire que nous les avons rencontrées, sous les aspects les plusdivers et aux plus divers degrés de développement, sur RECHERCHES SUR LES GH^AFES 177. ANN. se. NAT. ZOOL., 9^ séri iOil, XIII, 12 1 /8 MAURICE DE ROTHSCHILD ET HENRI NEUVILLE chacune des quelques Girafes du Cap, mâles et âgées, quenous avons pu examiner. Leur asymétrie est généralementtrès accentuée. Parfois elles forment des protubérances aux-quelles sapplique la comparaison employée par Le Vaillant ( 1 ),leur apparence ovoïde étant plus ou moins irrégulière etleur surface plus ou moins lisse ; dans dautres cas, ellesforment, dun même côté, plusieurs petites masses globuleuses,ovoïdes, etc. (fig. 15); elles peuvent enfin se réduire à desconcrétions dapparence stalagmitique ou simplement spon-gieuse, plus ou moius étendues et plus ou moins élevées; dansun cas même (Collections dAnatomie comparée du IVluséum :A. 10754; fig. 51 C) nous les voyons se réduire dun côté àune petite protubérance transversalement allongée, mesurantenviron 0,045 sur 0°,015, et de lautre à une surface à peinesaillante, dun a


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